Dans leurs rapports trimestriels à la SEC, le gendarme boursier américain, les sociétés américaines cotées en bourse sont tenues de faire mention de tous les éléments extérieurs qui seraient susceptibles d'avoir une influence négative sur leurs résultats. Dans ce document, il s'agit d'être le plus exhaustif possible, quitte à envisager l'impossible. Apple avait par exemple indiqué qu'elle redoutait un tremblement de terre (lire : Apple craint un tremblement de terre).
Adobe pour sa part indique dans son formulaire 10-Q que ses résultats « pourraient être amoindris dans la mesure où des nouvelles versions de systèmes d'exploitation ou de produits, plateformes ou appareils, de tierce partie, tels que l'iPhone ou l'iPad d'Apple, rendraient les résultats de nos produits plus difficiles, et où nos clients pourraient être convaincus d'utiliser des technologies alternatives. »
Adobe cite également d'autre causes possibles, comme un ralentissement du marché de l'informatique ou l'éventuelle impossibilité de s'adapter à de futures nouvelles technologies incluses dans les prochains systèmes d'exploitation, rien n'indique donc qu'Adobe y voie réellement un danger concret.
Dans son dernier formulaire 10-Q, Apple avait précisément indiqué que « le développement de nos propres logiciels et services peut influencer négativement les décisions de développeurs de tierce partie, tels que Microsoft, Adobe et Google, concernant le développement, la maintenance, et les mises à jours de logiciels et services concurrents similaires pour nos produits. »
Adobe pour sa part indique dans son formulaire 10-Q que ses résultats « pourraient être amoindris dans la mesure où des nouvelles versions de systèmes d'exploitation ou de produits, plateformes ou appareils, de tierce partie, tels que l'iPhone ou l'iPad d'Apple, rendraient les résultats de nos produits plus difficiles, et où nos clients pourraient être convaincus d'utiliser des technologies alternatives. »
Adobe cite également d'autre causes possibles, comme un ralentissement du marché de l'informatique ou l'éventuelle impossibilité de s'adapter à de futures nouvelles technologies incluses dans les prochains systèmes d'exploitation, rien n'indique donc qu'Adobe y voie réellement un danger concret.
Dans son dernier formulaire 10-Q, Apple avait précisément indiqué que « le développement de nos propres logiciels et services peut influencer négativement les décisions de développeurs de tierce partie, tels que Microsoft, Adobe et Google, concernant le développement, la maintenance, et les mises à jours de logiciels et services concurrents similaires pour nos produits. »