Avec la sortie d'un nouveau SDK iPhone OS 4, Apple a amendé son contrat d'une manière qui laisse clairement entendre qu'elle ne tolère pas des applications générées à partir d'autres environnements de développement que le sien ou qui doivent être écrits avec des langages bien précis.
3.3.1 — Applications may only use Documented APIs in the manner prescribed by Apple and must not use or call any private APIs. Applications must be originally written in Objective-C, C, C++, or JavaScript as executed by the iPhone OS WebKit engine, and only code written in C, C++, and Objective-C may compile and directly link against the Documented APIs (e.g., Applications that link to Documented APIs through an intermediary translation or compatibility layer or tool are prohibited).
La première implication de ce changement va concerner Adobe qui a doté Flash CS5 d'une fonction pour compiler des applications Flash et AIR en applications compatibles iPhone OS. Plusieurs sont d'ailleurs déjà disponibles sur l'App Store depuis l'automne dernier grâce à la bêta de Flash CS5, et encore ce week-end, après la sortie de l'iPad, les équipes AIR d'Adobe se félicitaient de voir que cela fonctionnait avec la tablette (lire : Adobe prend un bol d'AIR sur l'iPad).
Cette évolution d'Apple intervient en outre à trois jours du lancement de la Creative Suite 5 où figure cette nouvelle fonction d'export… Adobe doit apprécier. Pour l'heure aucune réaction n'est venue de l'éditeur. D'autres compilateurs sont certainement concernés de la même manière, tel que MonoTouch, permettant de générer du code compatible iPhone à partir de code C# et .NET (lire : S'affranchir d'Objective-C sur iPhone).
Côté utilisateur cela ne devrait pas changer grand chose, l'App Store ne souffrait pas d'un manque d'applications qui aurait rendu ces renforts salutaires. Côté développeur, c'est variable, selon le bord où l'on se situe.
Pour les habitués d' Objective-C, C, C++ ou JavaScript cela ne change rien non plus et leurs marges de manoeuvre ne sont pas moins grandes. Pour les développeurs des plateformes concernées en revanche, c'est une porte qui se referme devant leur nez en claquant, et une opportunité qui disparaît avec, celle de pouvoir profiter de l'App Store et de l'iPhone sans se donner le mal d'apprendre les langages et outils de développements officiels ou de concevoir leurs logiciel en tirant spécifiquement parti des qualités et possibilités de cette plateforme. Le propos d'Adobe étant qu'un seul logiciel pouvait fonctionner à l'identique sur Mac, PC, Linux, Android, iPhone OS ou dans un navigateur web…
3.3.1 — Applications may only use Documented APIs in the manner prescribed by Apple and must not use or call any private APIs. Applications must be originally written in Objective-C, C, C++, or JavaScript as executed by the iPhone OS WebKit engine, and only code written in C, C++, and Objective-C may compile and directly link against the Documented APIs (e.g., Applications that link to Documented APIs through an intermediary translation or compatibility layer or tool are prohibited).
La première implication de ce changement va concerner Adobe qui a doté Flash CS5 d'une fonction pour compiler des applications Flash et AIR en applications compatibles iPhone OS. Plusieurs sont d'ailleurs déjà disponibles sur l'App Store depuis l'automne dernier grâce à la bêta de Flash CS5, et encore ce week-end, après la sortie de l'iPad, les équipes AIR d'Adobe se félicitaient de voir que cela fonctionnait avec la tablette (lire : Adobe prend un bol d'AIR sur l'iPad).
Cette évolution d'Apple intervient en outre à trois jours du lancement de la Creative Suite 5 où figure cette nouvelle fonction d'export… Adobe doit apprécier. Pour l'heure aucune réaction n'est venue de l'éditeur. D'autres compilateurs sont certainement concernés de la même manière, tel que MonoTouch, permettant de générer du code compatible iPhone à partir de code C# et .NET (lire : S'affranchir d'Objective-C sur iPhone).
Côté utilisateur cela ne devrait pas changer grand chose, l'App Store ne souffrait pas d'un manque d'applications qui aurait rendu ces renforts salutaires. Côté développeur, c'est variable, selon le bord où l'on se situe.
Pour les habitués d' Objective-C, C, C++ ou JavaScript cela ne change rien non plus et leurs marges de manoeuvre ne sont pas moins grandes. Pour les développeurs des plateformes concernées en revanche, c'est une porte qui se referme devant leur nez en claquant, et une opportunité qui disparaît avec, celle de pouvoir profiter de l'App Store et de l'iPhone sans se donner le mal d'apprendre les langages et outils de développements officiels ou de concevoir leurs logiciel en tirant spécifiquement parti des qualités et possibilités de cette plateforme. Le propos d'Adobe étant qu'un seul logiciel pouvait fonctionner à l'identique sur Mac, PC, Linux, Android, iPhone OS ou dans un navigateur web…