Les dirigeants d'Apple ont profité de la journée de jeudi pour vendre près d'un million d'actions AAPL.
Tim Cook, le directeur général d'Apple, a ainsi vendu 300.000 actions entre 226,9 et 230,7 $ l'action, pour un bénéfice de 68,8 millions de dollars (dont 32 millions iront dans la poche du fisc américain), puisque ses actions valaient 72,01 $ lorsqu'il les a obtenus. Il y a quelques semaines, il avait reçu un bonus de 5 millions de dollars, plus 17 millions en stock-options (lire : Tim Cook : un intérim à 5 millions).
Le directeur financier d'Apple, Peter Oppenheimer, a fait de même avec 200.000 actions, pour un bénéfice de 45,98 millions de dollars, tout comme Ron Johnson, le vice-président en charge des Apple Store. Phil Schiller, le vice-président marketing d'Apple, a quant à lui vendu 150.000 actions pour 34,47 millions de dollars. D'autres dirigeants ont fait de même, comme Bertrand Serlet (VP Mac OS X, 150.000 actions), Scott Forstall (VP iPhone, 50.000 actions) et Bob Mansfield (VP hardware et ingénierie, 50.000 actions).
Dans tous les cas, il s'agissait pour ses dirigeants de faire valoir leurs droits sur des stocks-options qui leur avaient été accordées pour la plupart en 2005. Ces dirigeants ont attendu quasiment le dernier moment de la fenêtre qui leur est accordée pour revendre instantanément les actions ainsi acquises, profitant ainsi d'un cours très haut.
Afin d'éviter tout délit d'initié, la SEC, le gendarme américain de la bourse, impose aux dirigeants d'en passer par une procédure complexe, et leur demandent de couvrir les coûts de l'opération. Ainsi, le cours de l'action ne peut être manipulé artificiellement par ses dirigeants. Néanmoins, après ces déplacements en volumes importants, AAPL a perdu 4,57 $, fermant à 226,35 $ hier, petit creux effacé par la progression d'aujourd'hui, avec un cours autour des 230 $.
Tim Cook, le directeur général d'Apple, a ainsi vendu 300.000 actions entre 226,9 et 230,7 $ l'action, pour un bénéfice de 68,8 millions de dollars (dont 32 millions iront dans la poche du fisc américain), puisque ses actions valaient 72,01 $ lorsqu'il les a obtenus. Il y a quelques semaines, il avait reçu un bonus de 5 millions de dollars, plus 17 millions en stock-options (lire : Tim Cook : un intérim à 5 millions).
Le directeur financier d'Apple, Peter Oppenheimer, a fait de même avec 200.000 actions, pour un bénéfice de 45,98 millions de dollars, tout comme Ron Johnson, le vice-président en charge des Apple Store. Phil Schiller, le vice-président marketing d'Apple, a quant à lui vendu 150.000 actions pour 34,47 millions de dollars. D'autres dirigeants ont fait de même, comme Bertrand Serlet (VP Mac OS X, 150.000 actions), Scott Forstall (VP iPhone, 50.000 actions) et Bob Mansfield (VP hardware et ingénierie, 50.000 actions).
Dans tous les cas, il s'agissait pour ses dirigeants de faire valoir leurs droits sur des stocks-options qui leur avaient été accordées pour la plupart en 2005. Ces dirigeants ont attendu quasiment le dernier moment de la fenêtre qui leur est accordée pour revendre instantanément les actions ainsi acquises, profitant ainsi d'un cours très haut.
Afin d'éviter tout délit d'initié, la SEC, le gendarme américain de la bourse, impose aux dirigeants d'en passer par une procédure complexe, et leur demandent de couvrir les coûts de l'opération. Ainsi, le cours de l'action ne peut être manipulé artificiellement par ses dirigeants. Néanmoins, après ces déplacements en volumes importants, AAPL a perdu 4,57 $, fermant à 226,35 $ hier, petit creux effacé par la progression d'aujourd'hui, avec un cours autour des 230 $.