Adobe n'en a pas fini de communiquer autour de Flash sur Mac, afin d'éteindre l'incendie démarré par Steve Jobs avec sa déclaration sur la fainéantise des ingénieurs de la firme de San José. C'est à nouveau Kevin Lynch, le directeur technique d'Adobe, qui est monté au créneau lors d'une interview avec Kara Swisher de D:All Things Digital (il avait déjà évoqué ce sujet récemment : Flash : de meilleures performances espérées sur Mac).
Il a tenu à recadrer les propos qu'aurait tenus le patron d'Apple : « c'est une rumeur. On ne m'a pas confirmé qu'il l'avait bel et bien dit. Mais même s'il l'a dit, peu importe ». Il est en effet vrai qu'aucun journaliste n'étant présent lorsque Steve Jobs s'est penché sur le cas d'Adobe, mais seulement des employés, qui ont ensuite fait passé le mot (lire : Steve Jobs descend en flammes Adobe et Google). Lynch ajoute : « je me sens plutôt occupé par ici ».
Œuvrant en communicant, Kevin Lynch a tenu à assurer qu'Adobe était ouverte à la critique et attendait des retours de ses utilisateurs. Il a rappelé que ses ingénieurs travaillaient à améliorer Flash (lire : Flash 10.1 : Cocoa et Core Animation pour de meilleures performances), même s'il admet qu'il est vrai que pour le moment, les performances de Flash sur Mac sont bien en-dessous de ce qu'elles sont pour Windows — tout en déniant que Flash soit une cause de plantages majeurs sous Mac OS X.
Que ce soit pour Flash ou pour la prochaine CS5, Lynch rappelle qu'Adobe « travaille tout le temps avec Apple […] nous sommes l'un des plus gros développeurs pour Mac » (lire : Photoshop CS5 : Cocoa et 64 bits). Côté iPhone, Lynch botte en touche : s'il passe sous silence le fait qu'Apple bloque toujours le portage de Flash dans Safari, il met en avant la possibilité qu'auront les développeurs de coder des applications pour iPhone OS dans Flash CS5 (lire : Flash sur iPhone : comment ça marche ?).
Enfin, à la question de l'avenir du HTML5 et de la possibilité qu'il « tue » Flash, Lynch en remet une couche sur le travail effectué par les ingénieurs en charge du projet, qui évite à Flash de stagner, et donc d'être dépassé : « je ne vois pas HTML5 tuer Flash » (lire : Une polémique autour d'Adobe et du W3C).
Il a tenu à recadrer les propos qu'aurait tenus le patron d'Apple : « c'est une rumeur. On ne m'a pas confirmé qu'il l'avait bel et bien dit. Mais même s'il l'a dit, peu importe ». Il est en effet vrai qu'aucun journaliste n'étant présent lorsque Steve Jobs s'est penché sur le cas d'Adobe, mais seulement des employés, qui ont ensuite fait passé le mot (lire : Steve Jobs descend en flammes Adobe et Google). Lynch ajoute : « je me sens plutôt occupé par ici ».
Œuvrant en communicant, Kevin Lynch a tenu à assurer qu'Adobe était ouverte à la critique et attendait des retours de ses utilisateurs. Il a rappelé que ses ingénieurs travaillaient à améliorer Flash (lire : Flash 10.1 : Cocoa et Core Animation pour de meilleures performances), même s'il admet qu'il est vrai que pour le moment, les performances de Flash sur Mac sont bien en-dessous de ce qu'elles sont pour Windows — tout en déniant que Flash soit une cause de plantages majeurs sous Mac OS X.
Que ce soit pour Flash ou pour la prochaine CS5, Lynch rappelle qu'Adobe « travaille tout le temps avec Apple […] nous sommes l'un des plus gros développeurs pour Mac » (lire : Photoshop CS5 : Cocoa et 64 bits). Côté iPhone, Lynch botte en touche : s'il passe sous silence le fait qu'Apple bloque toujours le portage de Flash dans Safari, il met en avant la possibilité qu'auront les développeurs de coder des applications pour iPhone OS dans Flash CS5 (lire : Flash sur iPhone : comment ça marche ?).
Enfin, à la question de l'avenir du HTML5 et de la possibilité qu'il « tue » Flash, Lynch en remet une couche sur le travail effectué par les ingénieurs en charge du projet, qui évite à Flash de stagner, et donc d'être dépassé : « je ne vois pas HTML5 tuer Flash » (lire : Une polémique autour d'Adobe et du W3C).