David Ascher, le responsable du développement de Thunderbird - le logiciel de courrier électronique et de newsgroups issu de Mozilla - a livré des premières indications sur ce qui attend les utilisateurs pour 2010.
Le système des extensions - calqué sur celui de Firefox - va être beaucoup plus utilisé pour tester de nouvelles fonctions. Cela permettrait de valider (ou non) des idées, sans pour autant les intégrer immédiatement dans l'application. Si elles ne font pas l'affaire, ces extensions seront débarquées sans autre forme de procès. Si l'idée s'avère intéressante, mais ne mérite pas pour autant son visa pour embarquer dans Thunderbird, elle demeura une option à ajouter soi-même.
Mozilla procède ainsi pour Firefox ces derniers temps. Le système de thèmes d'interface est d'abord apparu comme une extension avant d'être intégré dans les préférences du navigateur, idem pour Weave, la fonction de synchronisation qui, elle, est encore au stade du module externe.
Une mise à jour 3.0.2 de Thunderbird ne va plus tarder, mais le prochain gros morceau est la version 3.1. Ses développeurs entendent améliorer les fonctions apparues avec la 3.0, mais des choses vont être faites pour ceux restés avec la version 2.x. Il est apparu que certains changements fonctionnels avaient déstabilisé des utilisateurs, de même que des réglages instaurés par défaut. Une réévaluation sur ces points sera réalisée en prévision de la future 3.1.
Enfin vient la question de l'argent, Ascher souhaite que Mozilla Messaging, l'entité constituée par la Fondation Mozilla pour gérer l'avenir de Thunderbird, gagne une autonomie financière plus marquée. Plusieurs pistes vont être défrichées avec parfois le concours des utilisateurs. Du moins exclusivement auprès de ceux disposés à participer ou recevoir des sollicitations commerciales. Des d'opérations seront testées pour tenter de trouver des formules de soutiens financiers adéquates. Un effort est également engagé pour essayer d'impliquer des entreprises dans l'évolution de l'application.
Le système des extensions - calqué sur celui de Firefox - va être beaucoup plus utilisé pour tester de nouvelles fonctions. Cela permettrait de valider (ou non) des idées, sans pour autant les intégrer immédiatement dans l'application. Si elles ne font pas l'affaire, ces extensions seront débarquées sans autre forme de procès. Si l'idée s'avère intéressante, mais ne mérite pas pour autant son visa pour embarquer dans Thunderbird, elle demeura une option à ajouter soi-même.
Mozilla procède ainsi pour Firefox ces derniers temps. Le système de thèmes d'interface est d'abord apparu comme une extension avant d'être intégré dans les préférences du navigateur, idem pour Weave, la fonction de synchronisation qui, elle, est encore au stade du module externe.
Une mise à jour 3.0.2 de Thunderbird ne va plus tarder, mais le prochain gros morceau est la version 3.1. Ses développeurs entendent améliorer les fonctions apparues avec la 3.0, mais des choses vont être faites pour ceux restés avec la version 2.x. Il est apparu que certains changements fonctionnels avaient déstabilisé des utilisateurs, de même que des réglages instaurés par défaut. Une réévaluation sur ces points sera réalisée en prévision de la future 3.1.
Enfin vient la question de l'argent, Ascher souhaite que Mozilla Messaging, l'entité constituée par la Fondation Mozilla pour gérer l'avenir de Thunderbird, gagne une autonomie financière plus marquée. Plusieurs pistes vont être défrichées avec parfois le concours des utilisateurs. Du moins exclusivement auprès de ceux disposés à participer ou recevoir des sollicitations commerciales. Des d'opérations seront testées pour tenter de trouver des formules de soutiens financiers adéquates. Un effort est également engagé pour essayer d'impliquer des entreprises dans l'évolution de l'application.