Plusieurs membres de la Free Software Foundation (FSF) se sont invités au special event et ont manifesté devant la foule. Avec un panneau mettant en garde les visiteurs, ils les informaient qu'ils entraient dans une zone où ils perdaient un peu de leur liberté.
Les membres de la FSF font principalement quatre reproches à la tablette Apple (alors qu'elle n'avait pas même encore été annoncée). On ne peut pas utiliser de logiciel libre dessus, il n'est pas possible d'installer une application depuis une page web, on ne peut pas partager de livre ou de musique et Apple peut à tout moment désactiver à distance vos logiciels ainsi que vos données personnelles. Concernant le dernier point, rappelons qu'Apple a la possibilité effectivement d'accéder à votre iPhone pour supprimer une application. Elle n'a pour l'heure jamais utilisé ce procédé qui est prévu uniquement dans des cas extrêmes (virus…).
![](http://static.macg.co/img/2009/12/skitched-20100128-005658.jpg)
John Sullivan a affirmé à nos confrères d'Ars Technica que dans l'ensemble les différents contacts qu'il avait eus avec les personnes se rendant au keynote étaient très positifs. Le responsable des opérations de la FSF indique même avoir reçu discrètement le soutien d'un employé d'Apple.
Durant la manifestation, Sullivan et ses compères ont fait signer une pétition pour qu'Apple abandonne définitivement les DRM dans tous ses produits. Pour lui, Apple fait preuve d'hypocrisie sur la question. "Si Steve Jobs déteste vraiment tant les DRM, pourquoi continue-t-il à les utiliser pour vendre du contenu vidéo sur iTunes ainsi que sur les applications iPhone ?", se demande-t-il. De manière générale, il estime que la firme de Cupertino va dans la mauvaise direction. L'iPhone était déjà un appareil fermé et l'iPad fait un pas de plus dans cette direction.
À l'avenir, John Sullivan compte bien organiser une nouvelle manifestation, mais cette fois dans un Apple Store. À l'occasion de la commercialisation de l'iPad ?
Les membres de la FSF font principalement quatre reproches à la tablette Apple (alors qu'elle n'avait pas même encore été annoncée). On ne peut pas utiliser de logiciel libre dessus, il n'est pas possible d'installer une application depuis une page web, on ne peut pas partager de livre ou de musique et Apple peut à tout moment désactiver à distance vos logiciels ainsi que vos données personnelles. Concernant le dernier point, rappelons qu'Apple a la possibilité effectivement d'accéder à votre iPhone pour supprimer une application. Elle n'a pour l'heure jamais utilisé ce procédé qui est prévu uniquement dans des cas extrêmes (virus…).
![](http://static.macg.co/img/2009/12/skitched-20100128-005658.jpg)
John Sullivan a affirmé à nos confrères d'Ars Technica que dans l'ensemble les différents contacts qu'il avait eus avec les personnes se rendant au keynote étaient très positifs. Le responsable des opérations de la FSF indique même avoir reçu discrètement le soutien d'un employé d'Apple.
Durant la manifestation, Sullivan et ses compères ont fait signer une pétition pour qu'Apple abandonne définitivement les DRM dans tous ses produits. Pour lui, Apple fait preuve d'hypocrisie sur la question. "Si Steve Jobs déteste vraiment tant les DRM, pourquoi continue-t-il à les utiliser pour vendre du contenu vidéo sur iTunes ainsi que sur les applications iPhone ?", se demande-t-il. De manière générale, il estime que la firme de Cupertino va dans la mauvaise direction. L'iPhone était déjà un appareil fermé et l'iPad fait un pas de plus dans cette direction.
À l'avenir, John Sullivan compte bien organiser une nouvelle manifestation, mais cette fois dans un Apple Store. À l'occasion de la commercialisation de l'iPad ?