Ed Eigerman travaillait chez Apple jusqu'en 2005, lorsqu'il se fit renvoyer pour avoir dévoilé un nouveau logiciel à un des clients institutionnels d'Apple une semaine avant qu'il ne soit officiellement présenté (voir notre article Apple et le culte du secret).
Fort de cette expérience particulière, l'homme décrit aux journalistes de Bloomberg l'ambiance qui règne sur le campus de Cupertino avant la présentation d'un nouveau produit. Comme on en a déjà eu maintes confirmations, il indique que les employés d'Apple eux-mêmes ignorent tout du produit avant sa présentation même. Lui-même n'a appris les spécifications de l'iPod qu'une heure et demi avant sa présentation par Steve Jobs.
Cette obsession du secret a cependant quelque impact sur le mental des troupes. Les employés se voient scruter les sites de rumeurs, comme tout un chacun le ferait, pour avoir une idée de ce sur quoi leur société travaille. Mais quand ils ont le malheur d'en savoir un peu trop, la situation devient inconfortable car ils paniquent à l'idée de laisser leur échapper une information, aussi minime soit-elle. Les seules choses dont ils peuvent se permettre de parler, sont précisément ce qu'ils auront vu sur un site de rumeur.
L'ancien ingénieur d'Apple, désormais consultant, y va de sa petite prédiction sur la tablette, puis, interrogé sur l'effet que ça fait de se trouver dans la même pièce que Steve Jobs, sur une échelle de 1 à 10, il répond "Si vous travaillez pour lui… soit 1 soit 10, il n'y a pas de juste milieu".
Fort de cette expérience particulière, l'homme décrit aux journalistes de Bloomberg l'ambiance qui règne sur le campus de Cupertino avant la présentation d'un nouveau produit. Comme on en a déjà eu maintes confirmations, il indique que les employés d'Apple eux-mêmes ignorent tout du produit avant sa présentation même. Lui-même n'a appris les spécifications de l'iPod qu'une heure et demi avant sa présentation par Steve Jobs.
Cette obsession du secret a cependant quelque impact sur le mental des troupes. Les employés se voient scruter les sites de rumeurs, comme tout un chacun le ferait, pour avoir une idée de ce sur quoi leur société travaille. Mais quand ils ont le malheur d'en savoir un peu trop, la situation devient inconfortable car ils paniquent à l'idée de laisser leur échapper une information, aussi minime soit-elle. Les seules choses dont ils peuvent se permettre de parler, sont précisément ce qu'ils auront vu sur un site de rumeur.
L'ancien ingénieur d'Apple, désormais consultant, y va de sa petite prédiction sur la tablette, puis, interrogé sur l'effet que ça fait de se trouver dans la même pièce que Steve Jobs, sur une échelle de 1 à 10, il répond "Si vous travaillez pour lui… soit 1 soit 10, il n'y a pas de juste milieu".