Les plus citadins de nos lecteurs auront pu le constater, Google a investi tous azimuts pour faire la réclame de Chrome son navigateur web. Journaux, métro (en France comme ailleurs), on est passé du bouche à oreille à une charge de cavalerie.
Le Monde indique que cette opération, démarrée le 5 janvier, concerne pas moins de 8 pays européens. On aura remarqué également une forte présence sur les sites Internet au travers de bandeaux pub.
Il s'agit pour Chrome de passer à la vitesse supérieure afin de prendre davantage pied sur le marché. Selon une étude Européenne de septembre dernier, Chrome était quatrième, derrière Safari, Firefox et IE, avec une part de 2,8% (doublée en l'espace de six mois). Mais l'objectif est très certainement aussi - voire surtout - de se tenir prêt à l'approche d'une opportunité inédite : l'accord signé entre Microsoft et la Commission européenne afin que les clients de Windows, en Europe, puissent plus facilement choisir un autre navigateur qu'Internet Explorer.
On l'avait déjà évoqué, le système mis en place à cet effet dans Windows va être activé d'ici la mi-mars (voir l'article Navigateurs : accord entre Bruxelles et Microsoft). 100 millions de PC, déjà sur le marché, seraient concernés par cette décision. Autant commencer dès maintenant à faire tourner la machine à imprimer les esprits…
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Chrome active extensions et synchronisation
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