Les choses sont en voie de s'arranger entre Microsoft et la Commission Européenne sur le dossier de la place accordée dans Windows aux navigateurs Web concurrents d'Internet Explorer (voir les articles sur Bruxelles et Microsoft).
L'objectif était de donner une visibilité accrue aux logiciels concurrents et de faciliter leur installation aux côtés d'Internet Explorer, jusqu'à désactiver purement et simplement ce dernier.
L'éditeur a apporté quelques retouches à sa copie, laquelle concerne Windows XP, Vista et 7 sur les PC vendus dans l'espace communautaire Européen. Dans les prochains mois, un écran d'accueil va être diffusé et informer les utilisateurs - actuels et futurs - qu'ils peuvent installer un autre navigateur parmi 12 au choix. Cet écran d'information sera mis en place au travers d'une mise à jour signalée comme "Importante" ou de "Haute priorité".
Le second écran va lister les cinq principaux navigateurs du marché et nouveauté, Internet Explorer ne figurera plus en premier. Le classement se fera par ordre alphabétique sur la base du nom des éditeurs. Le Safari d'Apple prend la première place, suivi de Chrome, Internet Explorer, Firefox et Opera. Sept autres navigateurs seront inclus, ceux de moindre poids sur le marché.
Pour chacun il sera proposé un descriptif sommaire - réactualisable tous les mois - avec la possibilité d'en savoir plus ou de l'installer immédiatement et de désigner le nouveau venu comme navigateur par défaut. Les assembleurs et fabricants de PC pourront également installer le ou les navigateurs de leur choix sur les PC, en complément ou en remplacement d'Internet Explorer. Les ententes commerciales entre ces OEM et Microsoft sont également encadrées.
La réactivation d'Internet Explorer ne pourra se faire que sur une action expresse de l'utilisateur et non par des procédés automatiques ou par des appels devant d'une autre application. Le système de mise à jour de Windows ne proposera pas les nouvelles versions d'IE si ce dernier est désactivé, mais il pourra actualiser certains composants système qui y sont associés.
Cet accord est prévu pour durer cinq ans et il va faire l'objet d'un test préliminaire. La Commission laisse également un mois aux autres protagonistes pour émettre d'éventuelles remarques, avant de formaliser ces décision sous une forme légale. Une révision de cet accord pourra être faite dans deux ans, sur demande de Microsoft ou de la Commission.
L'objectif était de donner une visibilité accrue aux logiciels concurrents et de faciliter leur installation aux côtés d'Internet Explorer, jusqu'à désactiver purement et simplement ce dernier.
L'éditeur a apporté quelques retouches à sa copie, laquelle concerne Windows XP, Vista et 7 sur les PC vendus dans l'espace communautaire Européen. Dans les prochains mois, un écran d'accueil va être diffusé et informer les utilisateurs - actuels et futurs - qu'ils peuvent installer un autre navigateur parmi 12 au choix. Cet écran d'information sera mis en place au travers d'une mise à jour signalée comme "Importante" ou de "Haute priorité".
Le second écran va lister les cinq principaux navigateurs du marché et nouveauté, Internet Explorer ne figurera plus en premier. Le classement se fera par ordre alphabétique sur la base du nom des éditeurs. Le Safari d'Apple prend la première place, suivi de Chrome, Internet Explorer, Firefox et Opera. Sept autres navigateurs seront inclus, ceux de moindre poids sur le marché.
Pour chacun il sera proposé un descriptif sommaire - réactualisable tous les mois - avec la possibilité d'en savoir plus ou de l'installer immédiatement et de désigner le nouveau venu comme navigateur par défaut. Les assembleurs et fabricants de PC pourront également installer le ou les navigateurs de leur choix sur les PC, en complément ou en remplacement d'Internet Explorer. Les ententes commerciales entre ces OEM et Microsoft sont également encadrées.
La réactivation d'Internet Explorer ne pourra se faire que sur une action expresse de l'utilisateur et non par des procédés automatiques ou par des appels devant d'une autre application. Le système de mise à jour de Windows ne proposera pas les nouvelles versions d'IE si ce dernier est désactivé, mais il pourra actualiser certains composants système qui y sont associés.
Cet accord est prévu pour durer cinq ans et il va faire l'objet d'un test préliminaire. La Commission laisse également un mois aux autres protagonistes pour émettre d'éventuelles remarques, avant de formaliser ces décision sous une forme légale. Une révision de cet accord pourra être faite dans deux ans, sur demande de Microsoft ou de la Commission.