Depuis la sortie de l'iPhone, Apple s'est pliée à un système assez alambiqué : étant donné qu'elle distribue gratuitement les mises à jour d'iPhone OS pour les possesseurs de son téléphone, (à l'inverse de ce qu'elle fait pour l'iPod touch ou Airport Extreme), elle est obligée de diluer les revenus générés par l'iPhone sur la durée de l'abonnement, ce qui ne reflète pas les gains réels générés par son appareil.
D'après AppleInsider, la règle pourrait bien être changée pour un système plus souple, ce qui devrait avoir pour conséquence directe des revenus par action bien plus élevés. Par exemple, elle a déclaré 1,27 dollar de gain par action au second trimestre, alors qu'en tenant compte des bénéfices générés par l'iPhone, les gains se seraient montés à 2,14 dollars par action, soit une hausse de près de 60%.
Le FASB (Financial Accounting Standard Board), qui gère les pratiques financières des sociétés cotées sur le marché public, a en effet mis sur pied un premier brouillon d'une modification de la règle, ce sur quoi Apple aurait focalisé son lobbying ces derniers temps. La vice-présidente d'Apple, Betsy Rafael, a écrit une lettre au président du FASB en août, plaidant pour une modification de la règle qui "aurait pour effet de mieux faire transparaître l'activité économique d'une société […], à l'aide d'informations financières moins complexes et plus transparentes, qui serviront mieux les investisseurs, les analystes financiers, et tous ceux qui utilisent les déclarations financières."
Depuis l'avènement de l'iPhone, en effet, chaque analyste y va de son petit calcul pour indiquer les résultats réels d'Apple si elle ne diluait pas les revenus de son téléphone sur deux ans.
D'après AppleInsider, la règle pourrait bien être changée pour un système plus souple, ce qui devrait avoir pour conséquence directe des revenus par action bien plus élevés. Par exemple, elle a déclaré 1,27 dollar de gain par action au second trimestre, alors qu'en tenant compte des bénéfices générés par l'iPhone, les gains se seraient montés à 2,14 dollars par action, soit une hausse de près de 60%.
Le FASB (Financial Accounting Standard Board), qui gère les pratiques financières des sociétés cotées sur le marché public, a en effet mis sur pied un premier brouillon d'une modification de la règle, ce sur quoi Apple aurait focalisé son lobbying ces derniers temps. La vice-présidente d'Apple, Betsy Rafael, a écrit une lettre au président du FASB en août, plaidant pour une modification de la règle qui "aurait pour effet de mieux faire transparaître l'activité économique d'une société […], à l'aide d'informations financières moins complexes et plus transparentes, qui serviront mieux les investisseurs, les analystes financiers, et tous ceux qui utilisent les déclarations financières."
Depuis l'avènement de l'iPhone, en effet, chaque analyste y va de son petit calcul pour indiquer les résultats réels d'Apple si elle ne diluait pas les revenus de son téléphone sur deux ans.