La dernière version de développement de Google Chrome 4 (0.203.4) - 14.3 Mo - a reçu des corrections afin d'améliorer sa compatibilité avec Snow Leopard. On n'est pas encore face à une version bêta que l'on pourrait utiliser tous les jours mais le logiciel progresse régulièrement.
On relève de nouveaux petits changements fonctionnels avec par exemple les cmd + clic et shift + clic pour ouvrir de nouvelles pages ou l'ajout de raccourcis clavier dans le menu Historique. Autre évolution, il doit être possible de lancer une recherche sur un site sans pour autant s'y rendre. Il suffirait de taper "amazon" ou "google" puis la touche de tabulation, suivie de mots clefs pour obtenir une liste de liens dans le menu du champs d'adresses. Impossible néanmoins de faire fonctionner ce système de notre côté.
Ailleurs, du travail d'optimisation est en cours pour réduire le temps d'affichage de la page d'accueil (ci-dessous). Quant à une version 64 bits de Chrome Mac elle ne semble pas encore à l'ordre du jour si l'on en croit un début de débat sur la liste développeurs. L'un des ingénieurs de Google, Jens Alfke, n'y voit pas de bénéfices immédiats. La version Linux de Chrome passe, elle, au 64 bits mais toujours selon Alfke il s'agit d'un passage obligé pour tirer partie de certaines interfaces de programmation uniquement 64 bits.
On relève de nouveaux petits changements fonctionnels avec par exemple les cmd + clic et shift + clic pour ouvrir de nouvelles pages ou l'ajout de raccourcis clavier dans le menu Historique. Autre évolution, il doit être possible de lancer une recherche sur un site sans pour autant s'y rendre. Il suffirait de taper "amazon" ou "google" puis la touche de tabulation, suivie de mots clefs pour obtenir une liste de liens dans le menu du champs d'adresses. Impossible néanmoins de faire fonctionner ce système de notre côté.
Ailleurs, du travail d'optimisation est en cours pour réduire le temps d'affichage de la page d'accueil (ci-dessous). Quant à une version 64 bits de Chrome Mac elle ne semble pas encore à l'ordre du jour si l'on en croit un début de débat sur la liste développeurs. L'un des ingénieurs de Google, Jens Alfke, n'y voit pas de bénéfices immédiats. La version Linux de Chrome passe, elle, au 64 bits mais toujours selon Alfke il s'agit d'un passage obligé pour tirer partie de certaines interfaces de programmation uniquement 64 bits.