La société BTG International, Inc a intenté en 2008 une procédure judiciaire à l'encontre de Samsung pour avoir violé quatre de ses brevets sur la mémoire flash de type "MLC" portant sur l'augmentation de leurs capacités de stockage.
En juillet 2009, BTG a également intenté une autre procédure à l'encontre des clients de Samsung qui exploitent les mémoires litigieuses, dont RIM, Dell, Sony, Asus, Lenovo, PNY, et Apple. La procédure porte cette fois sur 5 brevets, BTG accusant les sociétés impliquées de violer sa propriété intellectuelle en pleine connaissance de cause. Elle demande l'arrêt de la commercialisation des appareils utilisant les mémoires de Samsung (appareils photos, smartphones, baladeurs numériques…)
Sachant que la société œuvre dans l'industrie pharmaceutique, on pourrait se demander comment elle en est venue à disposer de tels brevets. Fondée après la seconde guerre mondiale, BTG fut autrefois une société publique britannique vouée à commercialiser les découvertes réalisées dans les universités de Sa Gracieuse Majesté (BTG était l'acronyme de British Technology Group), mais fut rachetée par l'américain Cinven en 1992. Elle dispose de brevets dans des domaines aussi variés que les semi-conducteurs, les anticorps, ou encore le matériel médical, entre autres.
La société déclare avoir exploité ces brevets il y a peu encore, citant le cas de deux entreprises auxquelles elle a accordé une licence contre un montant de 46 millions de dollars.
![](http://static.macg.co/img/2009/07/procesFlash-20090826-105459.jpg)
En juillet 2009, BTG a également intenté une autre procédure à l'encontre des clients de Samsung qui exploitent les mémoires litigieuses, dont RIM, Dell, Sony, Asus, Lenovo, PNY, et Apple. La procédure porte cette fois sur 5 brevets, BTG accusant les sociétés impliquées de violer sa propriété intellectuelle en pleine connaissance de cause. Elle demande l'arrêt de la commercialisation des appareils utilisant les mémoires de Samsung (appareils photos, smartphones, baladeurs numériques…)
Sachant que la société œuvre dans l'industrie pharmaceutique, on pourrait se demander comment elle en est venue à disposer de tels brevets. Fondée après la seconde guerre mondiale, BTG fut autrefois une société publique britannique vouée à commercialiser les découvertes réalisées dans les universités de Sa Gracieuse Majesté (BTG était l'acronyme de British Technology Group), mais fut rachetée par l'américain Cinven en 1992. Elle dispose de brevets dans des domaines aussi variés que les semi-conducteurs, les anticorps, ou encore le matériel médical, entre autres.
La société déclare avoir exploité ces brevets il y a peu encore, citant le cas de deux entreprises auxquelles elle a accordé une licence contre un montant de 46 millions de dollars.
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