Un billet publié samedi dernier sur le blog de Psystar indiquait que le cloneur venait de recevoir la visite dans ses locaux en Floride des avocats d'Apple. Intitulé "Le cirque arrive en ville" (sic), ce billet explique que l'équipe d'Apple venait interroger plusieurs employés et voir comment étaient réalisés les clones, jusqu'à l'installation de Mac OS X.
Sur un ton volontiers fanfaron, Psystar invitait ses supporters à venir assister à ces opérations et écrivait "La seule chose qu'ils vont découvrir c'est que nous n'avons rien caché depuis le début, et bien sûr la chaleur torride de la Floride."
En parallèle, Psystar s'est vu accorder le droit de ne plus être placé sous la protection du Chapitre 11 (lorsqu'une entreprise a des difficultés à honorer la totalité ses dettes). Toutefois, le juge a stipulé que le cloneur ne pourrait pas demander une nouvelle fois à bénéficier de cette protection, et ce, pendant les douze mois à venir. Autre contrainte, si Psystar entendait se placer sous la protection du Chapitre 7 (liquidation pure et simple de ses actifs), cela ne suspendrait pas automatiquement le déroulement de cette affaire qui doit mener à un procès en janvier prochain. En somme, Psystar voit les opportunités de repousser cette échéance singulièrement réduites.
Cette décision permet aussi à ses créanciers de lui réclamer le règlement de leurs factures, voire d'ouvrir de nouveaux fronts judiciaires. Apple compte parmi eux à hauteur de 75 000 $.
Enfin, les avocats d'Apple ont récemment affirmé dans un document remis au juge que Psystar avait détruit certains éléments ou tout au moins manqué à son obligation de les conserver. Des pièces qui incluraient des courriers électroniques et des portions de code utilisé pour installer et faire démarrer Mac OS X sur les PC assemblés par Psystar.
Sur un ton volontiers fanfaron, Psystar invitait ses supporters à venir assister à ces opérations et écrivait "La seule chose qu'ils vont découvrir c'est que nous n'avons rien caché depuis le début, et bien sûr la chaleur torride de la Floride."
En parallèle, Psystar s'est vu accorder le droit de ne plus être placé sous la protection du Chapitre 11 (lorsqu'une entreprise a des difficultés à honorer la totalité ses dettes). Toutefois, le juge a stipulé que le cloneur ne pourrait pas demander une nouvelle fois à bénéficier de cette protection, et ce, pendant les douze mois à venir. Autre contrainte, si Psystar entendait se placer sous la protection du Chapitre 7 (liquidation pure et simple de ses actifs), cela ne suspendrait pas automatiquement le déroulement de cette affaire qui doit mener à un procès en janvier prochain. En somme, Psystar voit les opportunités de repousser cette échéance singulièrement réduites.
Cette décision permet aussi à ses créanciers de lui réclamer le règlement de leurs factures, voire d'ouvrir de nouveaux fronts judiciaires. Apple compte parmi eux à hauteur de 75 000 $.
Enfin, les avocats d'Apple ont récemment affirmé dans un document remis au juge que Psystar avait détruit certains éléments ou tout au moins manqué à son obligation de les conserver. Des pièces qui incluraient des courriers électroniques et des portions de code utilisé pour installer et faire démarrer Mac OS X sur les PC assemblés par Psystar.