Après Palm qui traine la jambe en espérant repartir d'un bon pied avec son Pre, c'est un acteur de poids de la téléphonie mobile, Sony Ericsson, qui prépare la publication de mauvais résultats.
Sony Ericsson devrait annoncer à la mi-avril avoir vendu 14 millions de téléphones sur son premier trimestre fiscal 2009 (pour un prix de vente moyen de 120 €). Un chiffre en réalité alarmant puisqu'à la même période il y a un an, il en avait écoulé 22,3 millions (au prix de vente moyen de 121 €). Le fabricant évoque une faible demande chez les clients et des opérations de déstockage dans les canaux de distribution. Cela pourrait se traduire par de nouvelles pertes trimestrielles qu'il estime entre 340 et 390 millions d'euros.
Les produits de Sony Ericsson sont peut-être en cause, car dans le même temps, la demande pour les gros smartphones ne semble pas prise d'un coup de froid. Interrogé par Reuters, le patron de Qualcomm, qui fournit l'industrie du mobile en puces, affirme que "la demande pour les smartphones haut de gamme reste forte, stimulée par les besoins des clients en Internet mobile, multimédia et autres services à valeur ajoutée". Et de citer aussi un large mouvement qui porte les utilisateurs vers les modèles 3G.
Sony Ericsson est considéré comme le quatrième fabricant de mobiles au monde, juste derrière LG, Samsung et au sommet Nokia.
Sony Ericsson devrait annoncer à la mi-avril avoir vendu 14 millions de téléphones sur son premier trimestre fiscal 2009 (pour un prix de vente moyen de 120 €). Un chiffre en réalité alarmant puisqu'à la même période il y a un an, il en avait écoulé 22,3 millions (au prix de vente moyen de 121 €). Le fabricant évoque une faible demande chez les clients et des opérations de déstockage dans les canaux de distribution. Cela pourrait se traduire par de nouvelles pertes trimestrielles qu'il estime entre 340 et 390 millions d'euros.
Les produits de Sony Ericsson sont peut-être en cause, car dans le même temps, la demande pour les gros smartphones ne semble pas prise d'un coup de froid. Interrogé par Reuters, le patron de Qualcomm, qui fournit l'industrie du mobile en puces, affirme que "la demande pour les smartphones haut de gamme reste forte, stimulée par les besoins des clients en Internet mobile, multimédia et autres services à valeur ajoutée". Et de citer aussi un large mouvement qui porte les utilisateurs vers les modèles 3G.
Sony Ericsson est considéré comme le quatrième fabricant de mobiles au monde, juste derrière LG, Samsung et au sommet Nokia.
