C'est une histoire singulière de switch qu'un lecteur nous a contée. Il y a quelques temps une grosse boîte française de publicité a gagné le budget de communication d'un groupe mondial d'informatique, présent dans les PC comme dans les périphériques (on nous a demandé de ne pas citer les noms et marques).
Un budget pub' qui ne porte pas sur l'ensemble des prestations de ce client, mais sur ses périphériques d'impression uniquement. Pour autant, en échange de ce contrat, ce client a commencé à avoir des exigences, et pas des moindres.
Il entend que soient installés ses propres matériels en lieu et place de ceux déjà en service chez nos communicants (ce qui au passage permet aussi de se rembourser un peu sur ces dépenses de communication engagées…).
Les imprimantes et copieurs des marques adverses ont été priés de quitter les lieux. Même punition pour le parc informatique : un peu moins de 500 machines dont les deux tiers sont des Mac. Les PC siglés d'une autre marque, célèbre elle aussi, doivent être remplacés par ceux de notre client. Bien entendu, la foudre est aussi tombée sur les Macintosh. Les projets de renouvellement d'anciennes machines ont été supprimés aux profits de PC nouvellement arrivés. Ce qui ne manque d'ailleurs pas d'inquiéter, sur leur propre avenir, les personnes affectées à leur gestion.
Face à ces méthodes de bulldozer, la seule réaction de la direction, nous a expliqué un témoin effaré de ce chamboulement absurde, a été d'obtempérer. Car en ces temps difficiles on ne fait pas trop de manières avec les nouveaux clients…
Un budget pub' qui ne porte pas sur l'ensemble des prestations de ce client, mais sur ses périphériques d'impression uniquement. Pour autant, en échange de ce contrat, ce client a commencé à avoir des exigences, et pas des moindres.
Il entend que soient installés ses propres matériels en lieu et place de ceux déjà en service chez nos communicants (ce qui au passage permet aussi de se rembourser un peu sur ces dépenses de communication engagées…).
Les imprimantes et copieurs des marques adverses ont été priés de quitter les lieux. Même punition pour le parc informatique : un peu moins de 500 machines dont les deux tiers sont des Mac. Les PC siglés d'une autre marque, célèbre elle aussi, doivent être remplacés par ceux de notre client. Bien entendu, la foudre est aussi tombée sur les Macintosh. Les projets de renouvellement d'anciennes machines ont été supprimés aux profits de PC nouvellement arrivés. Ce qui ne manque d'ailleurs pas d'inquiéter, sur leur propre avenir, les personnes affectées à leur gestion.
Face à ces méthodes de bulldozer, la seule réaction de la direction, nous a expliqué un témoin effaré de ce chamboulement absurde, a été d'obtempérer. Car en ces temps difficiles on ne fait pas trop de manières avec les nouveaux clients…