Dans l'imbroglio entre Mark Papermaster et son ancien employeur IBM, c'est maintenant le premier qui attaque le second. Le nouveau patron du développement matériel des iPod et des iPhone - poste stratégique, si l'en est, chez Apple - s'était vu interdire cette semaine de commencer à travailler, le temps que ce dossier soit jugé.
Dans cette plainte contre IBM, il réitère des arguments déjà développés, mais ses avocats ont ajouté de nouvelles flèches.
Comme précédemment Papermaster affirme qu'Apple et IBM ne sont pas concurrents, l'une s'adresse majoritairement au grand public alors que le second vise tout spécialement les services aux entreprises. De plus, son poste ne lui donnera aucune occasion d'utiliser des connaissances et des informations confidentielles obtenues chez IBM.
Il estime ensuite que la clause de non-concurrence sur laquelle s'appuie IBM est irréaliste par sa durée : un an. Au vu du type d'industrie sur laquelle elle s'applique, les informations dont dispose Parpermaster seront devenues caduques bien avant cette échéance.
Autre argument avancé, cette clause ne serait tout simplement pas valide. Elle a été signée dans le cadre d'un poste que Papermaster occupait dans l'état de New York (il a passé 26 ans chez IBM). Mais lorsqu'il a démissionné, il était basé au Texas et il rejoignait Apple en Californie, deux états où ces dispositions dans les contrats de travail peuvent être contestées.
En parallèle, on a appris que IBM devrait payer 3 millions de dollars à Mark Papermaster s'il venait à gagner son procès, au titre de ses indemnités de salaire.
Sur le même sujet :
Dans les coulisses de l'affaire Papermaster
Le feuilleton de l'affaire Papermaster
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Comme précédemment Papermaster affirme qu'Apple et IBM ne sont pas concurrents, l'une s'adresse majoritairement au grand public alors que le second vise tout spécialement les services aux entreprises. De plus, son poste ne lui donnera aucune occasion d'utiliser des connaissances et des informations confidentielles obtenues chez IBM.
Il estime ensuite que la clause de non-concurrence sur laquelle s'appuie IBM est irréaliste par sa durée : un an. Au vu du type d'industrie sur laquelle elle s'applique, les informations dont dispose Parpermaster seront devenues caduques bien avant cette échéance.
Autre argument avancé, cette clause ne serait tout simplement pas valide. Elle a été signée dans le cadre d'un poste que Papermaster occupait dans l'état de New York (il a passé 26 ans chez IBM). Mais lorsqu'il a démissionné, il était basé au Texas et il rejoignait Apple en Californie, deux états où ces dispositions dans les contrats de travail peuvent être contestées.
En parallèle, on a appris que IBM devrait payer 3 millions de dollars à Mark Papermaster s'il venait à gagner son procès, au titre de ses indemnités de salaire.
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