Le prochain Office 14 sera doublé d'une version fonctionnant au sein d'un navigateur Web, comme le fait aujourd'hui Outlook Web Access.
Tandis qu'il dévoile son futur OS (voir l'article Windows 7 : à la recherche du temps perdu), Microsoft a aussi profité de sa conférence développeurs pour parler d'Office (version PC). Il reste à voir dans quelle mesure son cousin sur Mac suivra le chemin dessiné à cette occasion.
Word, Excel, PowerPoint et OneNote sont en train d'être réécrits à cet effet et seront réunis sous l'appellation "Web Applications for Office". Microsoft a laissé entendre qu'ils seraient utilisables autant avec Internet Explorer, que Firefox et Safari. Il n'a pas exclu non plus de les rendre opérationnels depuis les navigateurs de smartphones non équipés de Windows Mobile, depuis Office Mac et avec d'autres navigateurs.
Toutefois, on ne devrait pas retrouver l'intégralité des possibilités d'édition des logiciels de la suite. De la même manière que Google Docs propose des outils de bureautique, mais réduits à leurs fonctions essentielles.
L'interface devrait faire l'impasse sur le ruban d'icônes de l'actuel Office pour Windows et privilégier des menus plus classiques, afin de s'accommoder des écrans de plus petite taille des smartphones ou des petits ordinateurs portables. Silverlight, le concurrent de Flash, sera également de la partie pour assurer quelques fonctions (comme le zoom ou le lissage des polices) mais son emploi resterait optionnel.
Cet Office en version web sera proposé aux entreprises, mais aussi aux particuliers au travers des services en ligne Windows Live de l'éditeur (un équivalent à MobileMe). Il y aura des versions à prix réduit sponsorisées par la pub, d'autres disponibles moyennant abonnement ou encore des licences en volume associant la version web et la PC standard. Une bêta de cet Office "web" sera lancée d'ici quelques mois.
Lors du dernier trimestre fiscal, les chiffres livrés par Microsoft montraient que sa division comprenant Office dégageait plus d'argent que celle de Windows… Et l'objectif affirmé avec cette échappée vers le navigateur web est simple "rester le numéro 1 en outils de productivité", explique Chris Capossela, le patron de cette division.
Tandis qu'il dévoile son futur OS (voir l'article Windows 7 : à la recherche du temps perdu), Microsoft a aussi profité de sa conférence développeurs pour parler d'Office (version PC). Il reste à voir dans quelle mesure son cousin sur Mac suivra le chemin dessiné à cette occasion.
Word, Excel, PowerPoint et OneNote sont en train d'être réécrits à cet effet et seront réunis sous l'appellation "Web Applications for Office". Microsoft a laissé entendre qu'ils seraient utilisables autant avec Internet Explorer, que Firefox et Safari. Il n'a pas exclu non plus de les rendre opérationnels depuis les navigateurs de smartphones non équipés de Windows Mobile, depuis Office Mac et avec d'autres navigateurs.
Toutefois, on ne devrait pas retrouver l'intégralité des possibilités d'édition des logiciels de la suite. De la même manière que Google Docs propose des outils de bureautique, mais réduits à leurs fonctions essentielles.
L'interface devrait faire l'impasse sur le ruban d'icônes de l'actuel Office pour Windows et privilégier des menus plus classiques, afin de s'accommoder des écrans de plus petite taille des smartphones ou des petits ordinateurs portables. Silverlight, le concurrent de Flash, sera également de la partie pour assurer quelques fonctions (comme le zoom ou le lissage des polices) mais son emploi resterait optionnel.
Cet Office en version web sera proposé aux entreprises, mais aussi aux particuliers au travers des services en ligne Windows Live de l'éditeur (un équivalent à MobileMe). Il y aura des versions à prix réduit sponsorisées par la pub, d'autres disponibles moyennant abonnement ou encore des licences en volume associant la version web et la PC standard. Une bêta de cet Office "web" sera lancée d'ici quelques mois.
Lors du dernier trimestre fiscal, les chiffres livrés par Microsoft montraient que sa division comprenant Office dégageait plus d'argent que celle de Windows… Et l'objectif affirmé avec cette échappée vers le navigateur web est simple "rester le numéro 1 en outils de productivité", explique Chris Capossela, le patron de cette division.