L'iPhone 3G continue de se vendre très bien. Lancé en France le 17 juillet dernier, le smartphone d'Apple s'était vendu à 116 000 exemplaires au 27 août dernier. Le 15 septembre, ce sont 180 000 exemplaires qui avaient trouvé preneurs. Un chiffre dont se félicite Orange et qui dessine une jolie moyenne : entre 20 et 25 000 iPhone vendus par semaine. Pas de doute, l'iPhone 3G fait bien mieux que l'iPhone EDGE.
Par ailleurs, le site iPhon.fr revient sur la rencontre, hier, avec des représentants de l'opérateur français. Au programme : les fameux débits 3G de l'iPhone. Orange s'est ainsi dit surpris par l'ampleur médiatique qu'avait pu prendre cette "affaire", expliquant avoir adopté une politique simple : ne pas allouer le maximum de bande passante afin d'éviter que celle-ci ne soit saturée.
L'opérateur a justifié sa position en expliquant que tout appareil 3G n'a pas nécessairement besoin de la même bande passante et que débrider l'ensemble de ces appareils reviendrait en fait à pénaliser systématiquement ceux qui en ont le plus besoin. Orange pensait que l'utilisation qu'on pouvait avoir d'un iPhone ne justifiait pas ce débridage. Démonstration a ainsi été faite qu'en utilisation Web, l'iPhone EDGE et l'iPhone 3G débridé ne font certes pas jeu égal, mais que l'écart n'est pas si important que cela.
Dans ces conditions, Orange a choisi de restreindre le débit afin de préserver la bande passante pour d'autres types d'usage. La société a voulu prendre le temps d'identifier d'abord les nouveaux usages qu'introduit l'iPhone. L'iPhone est en tout cas désormais considéré comme intermédiaire entre les smartphones "anciens" 3G et les PC Cards 3G.
Sur le même sujet :
- iPhone 3G : les débits d'Orange ont augmenté
- Orange ouvre les vannes de la 3G sur iPhone
- iPhone 3G : les réponses clefs du chat avec Orange
- Orange s'explique sur le bridage de l'iPhone 3G
Par ailleurs, le site iPhon.fr revient sur la rencontre, hier, avec des représentants de l'opérateur français. Au programme : les fameux débits 3G de l'iPhone. Orange s'est ainsi dit surpris par l'ampleur médiatique qu'avait pu prendre cette "affaire", expliquant avoir adopté une politique simple : ne pas allouer le maximum de bande passante afin d'éviter que celle-ci ne soit saturée.
L'opérateur a justifié sa position en expliquant que tout appareil 3G n'a pas nécessairement besoin de la même bande passante et que débrider l'ensemble de ces appareils reviendrait en fait à pénaliser systématiquement ceux qui en ont le plus besoin. Orange pensait que l'utilisation qu'on pouvait avoir d'un iPhone ne justifiait pas ce débridage. Démonstration a ainsi été faite qu'en utilisation Web, l'iPhone EDGE et l'iPhone 3G débridé ne font certes pas jeu égal, mais que l'écart n'est pas si important que cela.
Dans ces conditions, Orange a choisi de restreindre le débit afin de préserver la bande passante pour d'autres types d'usage. La société a voulu prendre le temps d'identifier d'abord les nouveaux usages qu'introduit l'iPhone. L'iPhone est en tout cas désormais considéré comme intermédiaire entre les smartphones "anciens" 3G et les PC Cards 3G.
Sur le même sujet :
- iPhone 3G : les débits d'Orange ont augmenté
- Orange ouvre les vannes de la 3G sur iPhone
- iPhone 3G : les réponses clefs du chat avec Orange
- Orange s'explique sur le bridage de l'iPhone 3G