Peter Oppenheimer le directeur financier d'Apple passait hier une épreuve d'oral à l'occasion d'une conférence organisée par la banque Citigroup et il a abordé plusieurs sujets, mais sans trop dévoiler son jeu.
Il n'a ainsi fourni aucun détail sur l'avancée des négociations pour l'arrivée de l'iPhone en Chine. Il a néanmoins confirmé, indirectement, que trois opérateurs en Russie allaient se partager le gâteau. Jusqu'à présent, seuls deux se sont déclarés (voir l'article L'iPhone 3G arrive encore en Russie).
Sur la question des taux de marges où Apple avait laissé entendre cet été que des changements seraient effectués, Oppenheimer a déclaré "Nous avons prévu de continuer de proposer des produits à un niveau de marge raisonnable, mais pas dans des proportions si élevées qu'elles pourraient bénéficier à nos concurrents."
Et d'ajouter au passage qu'Apple avait au fil des 14 ou 15 derniers trimestres fiscaux dégagé des marges, en moyenne supérieures à celles du marché. Mieux Apple détiendrait aujourd'hui, selon Oppenheimer, 80% du marché des portables grand public vendus plus de 1000$ (ndr : le premier MacBook est à 1099$).
À propos du développement des disques SSD dans les portables, il a simplement relevé que les prix étaient assez fluctuants et qu'Apple observait avec intérêt cette compétition entre les disques durs classiques et les disques à mémoire flash.
Il a ensuite concédé qu'un dollar faible était à l'avantage d'Apple. Sur les ventes d'iPhone, pas de chiffres sinon qu'il s'attend à ce que le dernier trimestre fiscal soit sur ce point le plus important de tous (ndr : ce dont personne ne doute soit dit en passant).
Pas de détails sur les annonces de mardi prochain, sinon pour reprendre l'accroche utilisé pour ce rendez-vous, en promettant "we're going to rock".
Il a juste laissé entendre, par une pirouette et sans date au bout de la phrase, que l'absence de fonction de numérotation vocale sur l'iPhone pourrait être corrigée "c'est la beauté de notre modèle qui repose sur du logiciel, nous avons une équipe qui travaille sur des innovations, et on peut les proposer autant aux anciens clients qu'aux nouveaux."
Il n'a ainsi fourni aucun détail sur l'avancée des négociations pour l'arrivée de l'iPhone en Chine. Il a néanmoins confirmé, indirectement, que trois opérateurs en Russie allaient se partager le gâteau. Jusqu'à présent, seuls deux se sont déclarés (voir l'article L'iPhone 3G arrive encore en Russie).
Sur la question des taux de marges où Apple avait laissé entendre cet été que des changements seraient effectués, Oppenheimer a déclaré "Nous avons prévu de continuer de proposer des produits à un niveau de marge raisonnable, mais pas dans des proportions si élevées qu'elles pourraient bénéficier à nos concurrents."
Et d'ajouter au passage qu'Apple avait au fil des 14 ou 15 derniers trimestres fiscaux dégagé des marges, en moyenne supérieures à celles du marché. Mieux Apple détiendrait aujourd'hui, selon Oppenheimer, 80% du marché des portables grand public vendus plus de 1000$ (ndr : le premier MacBook est à 1099$).
À propos du développement des disques SSD dans les portables, il a simplement relevé que les prix étaient assez fluctuants et qu'Apple observait avec intérêt cette compétition entre les disques durs classiques et les disques à mémoire flash.
Il a ensuite concédé qu'un dollar faible était à l'avantage d'Apple. Sur les ventes d'iPhone, pas de chiffres sinon qu'il s'attend à ce que le dernier trimestre fiscal soit sur ce point le plus important de tous (ndr : ce dont personne ne doute soit dit en passant).
Pas de détails sur les annonces de mardi prochain, sinon pour reprendre l'accroche utilisé pour ce rendez-vous, en promettant "we're going to rock".
Il a juste laissé entendre, par une pirouette et sans date au bout de la phrase, que l'absence de fonction de numérotation vocale sur l'iPhone pourrait être corrigée "c'est la beauté de notre modèle qui repose sur du logiciel, nous avons une équipe qui travaille sur des innovations, et on peut les proposer autant aux anciens clients qu'aux nouveaux."