La NASA a confirmé qu'un virus avait réussi à monter à bord de la station spatiale internationale en juillet dernier, et qu'il était en activité sur l'un des portables de l'équipage. Une machine utilisée avec un logiciel de suivi nutritionnel ainsi que pour correspondre par e-mail avec la Terre. Manque de chance, il n'y avait point d'anti-virus sur cet ordinateur, ni sur les autres d'ailleurs.
Le virus, Gammima.AG, est connu depuis un an. À l'aise avec à peu près toutes les versions de Windows, il est spécialisé dans la récupération d'identifiants et de mots de passe de quelques jeux en ligne.
Aucun danger pour le fonctionnement de cette mission, mais il reste à élucider la façon dont est arrivé ce passager non désiré. Une clef USB emmenée par l'un des Dupont et Dupond de la station pourrait avoir servi de véhicule. La NASA a aussi indiqué que ce genre de problème s'était déjà produit à plusieurs occasions, mais toujours sans gravité.
Le virus, Gammima.AG, est connu depuis un an. À l'aise avec à peu près toutes les versions de Windows, il est spécialisé dans la récupération d'identifiants et de mots de passe de quelques jeux en ligne.
Aucun danger pour le fonctionnement de cette mission, mais il reste à élucider la façon dont est arrivé ce passager non désiré. Une clef USB emmenée par l'un des Dupont et Dupond de la station pourrait avoir servi de véhicule. La NASA a aussi indiqué que ce genre de problème s'était déjà produit à plusieurs occasions, mais toujours sans gravité.