Depuis quelques heures, les bulletins des radios, les journaux des télévisions, les quotidiens en parlent : Internet est en danger et on pourrait être passé à deux doigts d'une catastrophe. Découverte par Dan Kaminsky, un chercheur américain, une faille affecte les fondements mêmes du net : les fameux DNS, le protocole qui fait que quand on tape le nom d'un site, la requête aboutisse bien sur le bon serveur.
Autant dire qu'on touchait là une affaire sensible et que certains voient déjà le réseau des réseaux s'effondrer et avec lui l'économie mondiale, déjà en petite forme. Toutefois, hier, les grands noms du monde informatique, Apple, certes, mais aussi Microsoft, Cisco, IBM, Sun, etc., se sont mis à la tâche et ont mis ou vont mettre en ligne un correctif, on n'en sait guère plus, censé protéger le système.
Pour l'heure, les autorités — américaines — compétentes se refusent à en dire plus, histoire d'assurer évidemment la sécurité de l'ensemble, mais il apparaît que la faille vient de ce que la plupart des serveurs DNS stockent en cache les correspondances entre adresses IP et adresses Web les plus usitées et les plus connues. C'est dans ce vivier que les malveillants n'avaient qu'à se servir pour rediriger où ils le voulaient les requêtes des internautes.
Autant dire qu'on touchait là une affaire sensible et que certains voient déjà le réseau des réseaux s'effondrer et avec lui l'économie mondiale, déjà en petite forme. Toutefois, hier, les grands noms du monde informatique, Apple, certes, mais aussi Microsoft, Cisco, IBM, Sun, etc., se sont mis à la tâche et ont mis ou vont mettre en ligne un correctif, on n'en sait guère plus, censé protéger le système.
Pour l'heure, les autorités — américaines — compétentes se refusent à en dire plus, histoire d'assurer évidemment la sécurité de l'ensemble, mais il apparaît que la faille vient de ce que la plupart des serveurs DNS stockent en cache les correspondances entre adresses IP et adresses Web les plus usitées et les plus connues. C'est dans ce vivier que les malveillants n'avaient qu'à se servir pour rediriger où ils le voulaient les requêtes des internautes.