Alors que Research In Motion (RIM) travaille semble-t-il activement sur le BlackBerry 9100 dont le nom de code est pour le moins explicite, AK pour Apple Killer, l’entreprise canadienne a récemment posté une offre d’emploi pour le moins suspecte.
La personne en question intégrera une toute nouvelle équipe qui aura en charge de concevoir des logiciels BlackBerry. Le profil recherché doit notamment maîtriser le développement sur Mac, Cocoa, Objective-C et les technologies de synchronisation d’Apple.
Cette offre d’emploi peut s’interpréter de deux manières, soit la société cherche à offrir un meilleur support du Mac, soit, et c’est l’hypothèse retenue par AppleInsider, elle s’apprête à porter ses technologies de push-mail sur l’iPhone. Il faut savoir que de nombreux fabricants, dont Palm, Motorola, Nokia, Sony Ericsson et Samsung, ont pris ces dernières années auprès de RIM une licence BlackBerry Connect qui leur permet d’intégrer dans leurs téléphones une partie des technologies BlackBerry.
Si cette hypothèse se confirmait, l’iPhone disposerait d’un argument de plus susceptible de séduire les entreprises, qui pourraient craquer pour le terminal d’Apple sans avoir à renier leurs investissements ou à revoir de fond en comble leur infrastructure.
La personne en question intégrera une toute nouvelle équipe qui aura en charge de concevoir des logiciels BlackBerry. Le profil recherché doit notamment maîtriser le développement sur Mac, Cocoa, Objective-C et les technologies de synchronisation d’Apple.
Cette offre d’emploi peut s’interpréter de deux manières, soit la société cherche à offrir un meilleur support du Mac, soit, et c’est l’hypothèse retenue par AppleInsider, elle s’apprête à porter ses technologies de push-mail sur l’iPhone. Il faut savoir que de nombreux fabricants, dont Palm, Motorola, Nokia, Sony Ericsson et Samsung, ont pris ces dernières années auprès de RIM une licence BlackBerry Connect qui leur permet d’intégrer dans leurs téléphones une partie des technologies BlackBerry.
Si cette hypothèse se confirmait, l’iPhone disposerait d’un argument de plus susceptible de séduire les entreprises, qui pourraient craquer pour le terminal d’Apple sans avoir à renier leurs investissements ou à revoir de fond en comble leur infrastructure.