John Markoff, dans le New York Times, affirme qu'Apple travailla avant l'iPhone sur un produit de la taille d'un petit portable et baptisé "Safari Pad", avec déjà l'utilisation du multitouch. Et ce n'est que petit à petit, sous l'intuition de Steve Jobs que le projet évolua vers l'iPhone.
Dans un article récent (lire Wired raconte la création de l'iPhone), le mensuel américain Wired avait affirmé que le téléphone avait été conçu sur la base de technologies développées autour de 2003/2004 destinées à un projet qui ressemblait davantage à une tablette.
L'idée de Markoff est que ce produit pourrait revenir, assurant à la fois les fonctions de terminal Web et de livre électronique concurrent du nouveau périphérique d'Amazon (voir Kindle : l'iPod du livre ?)
Deux signes selon lui peuvent porter à croire qu'un tel projet à un avenir chez Apple : cette dernière a elle-même décrit l'iPod touch comme une plateforme (Wifi) au sens large davantage que comme un simple baladeur puis Steve Jobs a exprimé de sérieux doutes sur la pertinence d'un livre électronique, au titre que les Américains ne lisaient plus. Et si l'on compte le nombre de fois où Jobs a décrié un domaine pour mieux s'y intéresser ensuite alors tous les paris sont ouverts.
Dans un article récent (lire Wired raconte la création de l'iPhone), le mensuel américain Wired avait affirmé que le téléphone avait été conçu sur la base de technologies développées autour de 2003/2004 destinées à un projet qui ressemblait davantage à une tablette.
L'idée de Markoff est que ce produit pourrait revenir, assurant à la fois les fonctions de terminal Web et de livre électronique concurrent du nouveau périphérique d'Amazon (voir Kindle : l'iPod du livre ?)
Deux signes selon lui peuvent porter à croire qu'un tel projet à un avenir chez Apple : cette dernière a elle-même décrit l'iPod touch comme une plateforme (Wifi) au sens large davantage que comme un simple baladeur puis Steve Jobs a exprimé de sérieux doutes sur la pertinence d'un livre électronique, au titre que les Américains ne lisaient plus. Et si l'on compte le nombre de fois où Jobs a décrié un domaine pour mieux s'y intéresser ensuite alors tous les paris sont ouverts.