Microsoft multiplie les initiatives pour rendre Windows Vista plus attractif. À défaut de pouvoir corriger rapidement le tir d’un point de vue technique avec son système, Redmond a décidé de devenir plus agressif sur le plan commercial. Le Wall Street Journal révèle que le prix de détail de son système d'exploitation va être revu à la baisse en magasins. En fonction des éditions, il coûtera 20 à 40 % moins cher qu’actuellement. La mise à jour de base de Windows Vista Édition familiale Premium va être proposée à 129 $, soit une réduction de 30 $. Microsoft espère ainsi accélérer l’adoption de son système. Toujours selon le WSJ, le géant du logiciel compte également réduire le nombre de versions de Vista dans de nombreux pays afin de simplifier son offre.
Toujours dans le but de relancer les ventes de son système, Microsoft avait récemment décidé de revoir sa polititique de virtualisation. Il est possible depuis peu d’utiliser n’importe quelle version de Vista avec des outils comme Parallels Desktop. Auparavant, il fallait acquérir les versions haut de gamme du successeur de XP pour en avoir le privilège.
Mais Microsoft n’est décidément pas au bout de ses peines avec Vista. Un nouveau scandale est en train d’être révélé au grand jour. Des échanges de courriels internes chez Microsoft indiquent clairement que l’éditeur a revu à la baisse ses spécifications pour le programme «Windows Vista Capable» afin de permettre à Intel d’écouler des cartes mères avec le chipset GMA900, pour lequel les deux sociétés n’avaient pas développé à temps un pilote WDDM capable de faire fonctionner Aero. Résultat de cette entente, cela a entrainé des déboires (problème de compatibilité…) chez de nombreux utilisateurs à commencer par Jon Shirley, membre du conseil d’administration de… Microsoft. L’histoire peut paraître cocasse, mais elle est au cœur d’une class action aux États-Unis, qui a permis justement à la justice de saisir cet échange de courriels entre Jon Shirley et les hauts dirigeants de Redmond.
Toujours dans le but de relancer les ventes de son système, Microsoft avait récemment décidé de revoir sa polititique de virtualisation. Il est possible depuis peu d’utiliser n’importe quelle version de Vista avec des outils comme Parallels Desktop. Auparavant, il fallait acquérir les versions haut de gamme du successeur de XP pour en avoir le privilège.
Mais Microsoft n’est décidément pas au bout de ses peines avec Vista. Un nouveau scandale est en train d’être révélé au grand jour. Des échanges de courriels internes chez Microsoft indiquent clairement que l’éditeur a revu à la baisse ses spécifications pour le programme «Windows Vista Capable» afin de permettre à Intel d’écouler des cartes mères avec le chipset GMA900, pour lequel les deux sociétés n’avaient pas développé à temps un pilote WDDM capable de faire fonctionner Aero. Résultat de cette entente, cela a entrainé des déboires (problème de compatibilité…) chez de nombreux utilisateurs à commencer par Jon Shirley, membre du conseil d’administration de… Microsoft. L’histoire peut paraître cocasse, mais elle est au cœur d’une class action aux États-Unis, qui a permis justement à la justice de saisir cet échange de courriels entre Jon Shirley et les hauts dirigeants de Redmond.