Après avoir vogué de record en record, l’action Apple a cédé beaucoup de terrain ces dernières semaines. Elle a fini hier la séance en baisse de 1,7 % à 119,46 $. On n’avait pas vu l’action à un niveau aussi bas depuis la mi-août.
Ce qui perturbe dernièrement le plus les investisseurs, c’est l’ampleur du phénomène du désimlockage, qui pourrait coûter cher à Apple. Chaque téléphone désimlocké représenterait pour la marque à la pomme un manque à gagner de 370 $. Rappelons que le pourcentage de téléphones débloqués, selon les différentes estimations, est de l’ordre de 25 à 30 %.
De plus, certains commencent à douter de la capacité de Cupertino à écouler dix millions de téléphones d’ici la fin de l’année. Si l’on prend pour référence le dernier trimestre 2007, Apple a vendu en moyenne 180 000 appareils par semaine. Si l’on considère que c’est la période la plus favorable de l’année, Toni Sacconaghi estime qu’Apple devrait être en mesure de vendre 7,9 millions d’appareils cette année. L’analyste de Bernstein Research critique la politique commerciale d’Apple, il aurait préféré qu’elle révise à la baisse le prix de l’iPhone au lieu de lancer un modèle plus cher avec plus de mémoire.
Reste que l’analyste ne connaît pas entièrement le jeu d’Apple. La commercialisation de l’iPhone dans de nouveaux pays, l’arrivée du SDK, le lancement d’un modèle 3G sont autant de cartouches qu’Apple a en sa possession pour relancer les ventes de son produit.
Ce qui perturbe dernièrement le plus les investisseurs, c’est l’ampleur du phénomène du désimlockage, qui pourrait coûter cher à Apple. Chaque téléphone désimlocké représenterait pour la marque à la pomme un manque à gagner de 370 $. Rappelons que le pourcentage de téléphones débloqués, selon les différentes estimations, est de l’ordre de 25 à 30 %.
De plus, certains commencent à douter de la capacité de Cupertino à écouler dix millions de téléphones d’ici la fin de l’année. Si l’on prend pour référence le dernier trimestre 2007, Apple a vendu en moyenne 180 000 appareils par semaine. Si l’on considère que c’est la période la plus favorable de l’année, Toni Sacconaghi estime qu’Apple devrait être en mesure de vendre 7,9 millions d’appareils cette année. L’analyste de Bernstein Research critique la politique commerciale d’Apple, il aurait préféré qu’elle révise à la baisse le prix de l’iPhone au lieu de lancer un modèle plus cher avec plus de mémoire.
Reste que l’analyste ne connaît pas entièrement le jeu d’Apple. La commercialisation de l’iPhone dans de nouveaux pays, l’arrivée du SDK, le lancement d’un modèle 3G sont autant de cartouches qu’Apple a en sa possession pour relancer les ventes de son produit.