Suite à la ténébreuse affaire des stock-options, plusieurs actionnaires, dont le fond de pension New York City Employees Retirement System qui possède un petit million d'actions Apple, avaient décidé d'assigner les dirigeants en justice. Ils avaient dans le viseur Steve Jobs ainsi que 13 autres personnes qui ont occupé des fonctions importantes au sein d'Apple ces dernières années et cherchaient à être dédommagés sur la base du montant qu'Apple (soit 84 millions de dollars) a été contrainte de provisionner afin de régler cette affaire d'un point de vue comptable.
Le juge en charge de cette affaire, Jeremy Fogel, estime que le fonds de pension n'a pas réussi à démontrer l'existence d'un préjudice personnel. Il affirme que lorsque des stock-options ont été antidatées, elles n'ont jamais eu d'impact sur le cours et surtout, le cours de l'action n'a jamais chuté suite à une attribution de stock-options, ce qui est un pré requis dans ce genre d'affaires pour que la justice regarde cela au peigne fin. Le juge les autorise toutefois à présenter une nouvelle demande s'il arrive à prouver l'existence d'un préjudice découlant de fautes imputables aux dirigeants de la société.
Le juge en charge de cette affaire, Jeremy Fogel, estime que le fonds de pension n'a pas réussi à démontrer l'existence d'un préjudice personnel. Il affirme que lorsque des stock-options ont été antidatées, elles n'ont jamais eu d'impact sur le cours et surtout, le cours de l'action n'a jamais chuté suite à une attribution de stock-options, ce qui est un pré requis dans ce genre d'affaires pour que la justice regarde cela au peigne fin. Le juge les autorise toutefois à présenter une nouvelle demande s'il arrive à prouver l'existence d'un préjudice découlant de fautes imputables aux dirigeants de la société.