En matière de jungle touffue et impénétrable, on connaissait les tarifs des opérateurs de téléphonie et les nomenclatures imbitables des architectures Intel. Mais dans le genre, l'USB-C n'est pas mal non plus. Le connecteur Type-C cache un maquis de fonctions très différentes, qu'il faut avoir en tête avant de passer à la caisse, au risque sinon d'une grosse déception.
Comment trouver le bon câble USB-C
L'USB Implementers Forum (USB-IF), l'organisation qui gère le standard USB — et qui est en grande partie responsable de la confusion autour de la connectique, confère le foutoir de l'USB 3.2 —, veut faire amende honorable avec de nouveaux logos visant à mieux informer les consommateurs.
Ces logos pour des câbles USB-C affichent leur puissance (60W, 240W) comme défini par les spécifications Power Delivery 3.1. Les logos doivent être présents sur l'emballage et possiblement aussi sur le câble en lui-même. Les adaptateurs secteur ont eux aussi droit à un visuel certifiant la puissance délivrée.
En parallèle, les logos USB4 ont été revus pour unifier le standard au travers du programme de certification USB. Il est possible de combiner sur les logos les capacités de puissance et de débit.
Qu'est-ce que le Thunderbolt/USB 4 des Mac M1 ?
Il ne reste plus aux fabricants de câbles qu'à adopter ces nouveaux logos et à les apposer sur leurs produits, ce qui risque de prendre un petit peu de temps.
Source : Image d'accroche : Maurizio Pesce (CC BY 2.0)