Avouez que vous ne l’avez pas vue venir celle-là ! Car oui, ça sera ma conclusion, j'abandonne. Je précise bien : ma conclusion à moi, pas la conclusion universelle de l’histoire des hackintosh ! Chacun est libre bien entendu de trouver son bonheur là où il le souhaite1 et de me lancer des cailloux virtuels dans les commentaires pour m’apprendre à vivre.
Pourquoi ce revirement, après ce patient travail qui a porté ses fruits ? Pourquoi renoncer aux avantages d’un Mac puissant, évolutif, moins coûteux et opérationnel ? Tout simplement parce que j’ai pris conscience que le hackintosh est par nature dans un état d’équilibre instable. Cette notion scientifique, également utilisée dans les sciences politiques, décrit un système qui, à la suite d’un déséquilibre ou d’une perturbation, ne retrouve pas son état d’origine. Un hackintosh, c’est comme un funambule sur son fil : la moindre erreur peut être fatale !
Personnellement, j’attends de mon ordinateur une grande stabilité, ce que m’ont toujours offert les modèles d’Apple. Avec ce hackintosh, bien que pleinement opérationnel, j’ai ressenti l’impression d’être assis sur une caisse de dynamite.
Jugez plutôt. Mon hackintosh, une fois configuré, gardait encore un petit défaut …