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Ce que l'iPad Pro devrait copier sur la Surface Pro 4 (et inversement)

Stéphane Moussie

lundi 14 décembre 2015 à 10:20 • 158

Matériel

Un écran supérieur à 12", un stylet, un clavier, un tarif au-dessus des 1 000 €, un caractère « pro »... L'iPad Pro et la Surface Pro 4 partagent des points communs indéniables.

Microsoft présente son appareil comme « une tablette qui peut remplacer votre ordinateur portable. » Apple, qui ne craint pourtant pas la cannibalisation entre ses produits en général, ne va pas jusqu'à parler explicitement de remplaçant aux MacBook, mais l'idée est là : « c'est un iPad qui vous donne les moyens de développer votre productivité et votre créativité à une échelle insoupçonnée. »

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Après une semaine d'utilisation conjointe de ces deux produits a priori sur le même créneau, il ressort clairement qu'ils ont des différences fondamentales et des avantages qui leur sont propres.

Qu'est-ce que l'iPad Pro devrait copier sur la Surface Pro 4 pour s'améliorer ? À l'inverse, qu'est-ce que la Surface Pro 4 peut tirer de l'iPad Pro ? Nos réponses.

La Surface Pro 4 est disponible dans des configurations très différentes. D'un anémique Core m3 avec 4 Go de RAM et 128 Go de stockage (999 €), on peut la gonfler à bloc avec un Core i7 accompagné de 16 Go de RAM et 512 Go de stockage (2 449 €). Ce tableau présente les configurations d'iPad Pro et de Surface les plus équivalentes. Le modèle que nous avons testé est celui supérieur qui a deux fois plus de RAM et de stockage (1 449 €).

Ce que l'iPad Pro devrait copier sur la Surface Pro 4

Le stylet qui s'accroche à la tablette

L'Apple Pencil est un excellent stylet... quand on ne l'a pas oublié. Pouvoir accoler le stylet de Microsoft à la Surface simplement en l'approchant des bords aimantés est vraiment pratique. On est sûr de ne pas l'oublier ni de l'égarer.

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Il y a presque 20 ans, l'eMate 300 avait trois emplacements pour son stylet : deux sur les côtés pour le tenir à la verticale (comme une plume dans un encrier) et le troisième pour le ranger à l'horizontale. On ne demande pas à Apple de creuser le châssis de l'iPad Pro, mais la Pomme a montré, et montre encore, qu'elle pense à la compatibilité avec les accessoires quand elle conçoit certains produits. Les iPad ne sont-ils pas équipés d'aimants spécialement dédiés à la Smart Cover ? Ou pourquoi pas concevoir une Smart Cover avec un rangement pour le stylet ?

Le pied intégré

Au sortir de la boîte, on peut se servir immédiatement de la Surface Pro 4 pour regarder un film en la posant sur une table grâce à son pied intégré. On ne peut pas en dire autant de l'iPad Pro. Il est quasiment indispensable d'acheter séparément un accessoire servant de support.

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Quoi qu'en dise Apple, l'iPad Pro est simplement un iPad plus grand. L'ergonomie n'a pas été repensée alors que l'on ne peut pas tenir la tablette aussi longtemps qu'un iPad Air du fait de sa taille et de son poids.

Apple propose une Smart Cover (69 €) qui, si elle a l'avantage de protéger l'écran, n'est pas aussi flexible que la béquille de la Surface. Seulement deux positions sont possibles, quand la Surface Pro 4 peut être inclinée à n'importe quel angle compris entre 22 et 150°.

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Et puis la Smart Cover nécessite un peu de place supplémentaire quand elle surélève légèrement l'iPad (elle n'est pas située dessous mais derrière), ce qui n'est pas le cas du pied de l'appareil de Microsoft. Sur les genoux ou sur un bureau, il est bien plus facile de positionner la Surface Pro 4 à sa guise.

À vrai dire, on imagine mal Apple ajouter un pied à l'iPad, elle qui épure au maximum le design de ses produits, quitte à les rendre moins ergonomiques et à retirer des fonctions clés.

Le stylet avec une gomme (et un bouton)

Ce qui nous ramène à l'Apple Pencil, un joli stylet auquel il manque une gomme. Ajouter cette fonction ne le rendrait pas moins « naturel », comme aime à le décrire Jonathan Ive. Au contraire, quand on retourne plusieurs fois machinalement le stylet de l'iPad Pro pour effacer quelque chose et qu'on se rend compte bêtement qu'il n'y a pas de gomme, on perd le naturel.

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Le stylet de la Surface, lui, en a une. Elle ne ressemble pas à une gomme traditionnelle, certes, mais elle facilite bien les opérations d'effacement.

L'extrémité qui sert de gomme est également cliquable, comme un bouton de stylo bille. Le bouton ne sert pas à rétracter la mine, mais à lancer l'application OneNote ou à faire une capture d'écran selon que l'on clique ou double-clique dessus. Des raccourcis qui seraient appréciables sur Apple Pencil, mais difficilement intégrables sans sacrifier le design minimaliste.

Le clavier complet...

Apple présente le Smart Keyboard (179 €) comme un « clavier complet », ce qui est vrai dans le sens où il dispose de toutes les touches indispensables, mais on aimerait qu'il soit encore plus complet. Le clavier Type Cover de la Surface (149 €) a des touches de raccourci qui deviennent vites essentielles.

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Contrôler la musique et le volume sonore, entre autres, sans lever les mains du clavier est très pratique. Par ailleurs, le Type Cover est rétroéclairé et la frappe est proche de celle d'un clavier de MacBook Air/Pro. En bref, il est tout ce que le Smart Keyboard n'est pas, c'est-à-dire un bon clavier.

Heureusement, l'iPad Pro peut compter sur le CREATE de Logitech (149 €) qui est assez similaire au Type Cover en matière de fonctions et de confort. Mais ce dernier garde des avantages importants : il est bien plus léger (292 g contre 725 g) et se retire beaucoup plus facilement. D'un coup de poignet sec on peut séparer le Type Cover de la Surface, alors que retirer l'iPad Pro du CREATE demande plus d'effort (et il faut veiller à ne pas abimer la protection qui est fragile).

... avec un trackpad

L'autre point fort du clavier de Microsoft, c'est la présence d'un trackpad. Vous vous souvenez de l'explication de Steve Jobs sur l'absence d'écran tactile sur Mac ?

Les surfaces tactiles ne veulent pas être verticales. Ça donne de super démos, mais au bout d'un petit moment, vous commencez à fatiguer, et après plus longtemps, votre bras veut tomber. Ça ne fonctionne pas. C'est terrible d'un point de vue ergonomique.

Quand il est accompagné d'un clavier, l'iPad Pro ressemble drôlement à ce cauchemar d'ergonomie. Certes, on peut réaliser certaines actions à l'aide de raccourcis clavier (comme le très évident ⌘⇧H pour afficher l'écran d'accueil), mais on est inévitablement amené à lever son bras pour utiliser les applications quand on ne tape pas de texte.

Ce geste contraignant et cette fatigue qui se fait vite sentir ne sont pas présents sur la Surface Pro 4. On peut tout faire avec le trackpad. Microsoft a d'ailleurs augmenté sa taille pour le rendre plus confortable. Ça ne vaut pas encore un trackpad de MacBook, mais c'est satisfaisant et c'est en tout cas mieux que rien.

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Déplacer un curseur dans iOS serait sans doute surprenant dans l'état actuel des choses, mais Apple mijote peut-être une mise à jour qui rendrait cela plus naturel. Depuis sa version 9.1, iOS est capable d'intégrer le concept de focus de tvOS : on pourrait avoir une icône ou une ligne sélectionnée de façon visible, comme sur une application Apple TV. Une évolution utile pour le contrôle au clavier et au trackpad.

La connectique plus complète et standard

Encore aujourd'hui, une clé USB peut dans certains cas rendre des services. C'est facile et rapide. On insère la clé dans le port USB 3.0 de la Surface, et hop, on déplace les fichiers.

Sur iPad Pro, il faut soit passer par un service de stockage en ligne avec ce que cela implique comme complications (connexion au service, vitesse de transfert dépendante du réseau), soit compter sur une connexion sans fil directe pas toujours fiable ni très rapide (AirDrop, SMB...), soit utiliser une clé Lightning-USB onéreuse.

Mini DisplayPort et port USB 3.0 - Cliquer pour agrandir

La Surface Pro 4 a également un Mini DisplayPort pour brancher un écran externe. L'iPad Pro doit quant à lui faire appel à l'adaptateur Lightning AV numérique (59 €) ou à AirPlay, qui demande un Apple TV.

Évidemment, cette désaffection d'Apple pour les connectiques standards ne date pas de l'iPad Pro et elle est parfois guidée par de bonnes raisons. Dans le cas présent, l'iPad Pro ne pourrait pas être aussi fin avec un port USB 3.0 standard. Mais n'y avait-il pas moyen d'intégrer un port USB-C ?

Il apparait en fait assez nettement qu'Apple mise tout sur le Lightning. L'iPad Pro est le premier appareil équipé d'un port Lightning prenant en charge l'USB 3.0. Quant au premier périphérique Lightning compatible avec cette norme, il s'agit de l'adaptateur pour carte SD (35 €) qui permet donc de décharger rapidement ses photos et vidéos. C'est appréciable, mais il faudra continuer d'investir dans toutes sortes d'adaptateurs.

Le système plus souple

On a parlé du matériel, mais l'iPad Pro a aussi des leçons à tirer de la Surface Pro 4 sur le plan logiciel. Pour mémoire, la tablette de Microsoft fonctionne sous Windows 10 Pro. Quand on l'utilise sans clavier, on a un écran d'accueil recouvert de tuiles interactives qui affichent les informations principales des apps. Ces tuiles peuvent être redimensionnées et regroupées par catégorie.

À côté, l'écran d'accueil de l'iPad Pro est bien morne. Il s'agit toujours de la bête grille d'icônes qui n'a pas changé depuis l'iPhone original. C'est anecdotique, mais cela montre la stagnation de cette interface : en orientation paysage, il y a suffisamment de pixels entre deux icônes pour glisser tout l’affichage d’un iPhone Edge. N'y-t-il pas autre chose à faire que quatre rangées de cinq icônes espacées par des trous béants ?

Au-delà de l'écran d'accueil, il y a la nature même du système de la Surface Pro 4 qui est intéressante. Il s'agit de Windows 10 Pro « en version complète », comme le souligne Microsoft. C'est-à-dire que la Surface Pro 4 peut faire tourner n'importe quel logiciel Windows : Photoshop CC, AutoCAD, Steam...

Et puis on a accès au traditionnel explorateur de fichiers de Windows qui, tout comme le Finder, reste dans certains cas le meilleur moyen de gérer efficacement ses documents.

Depuis quelques mois, des développeurs et designers appellent à la création d'un « padOS », une version d'iOS spécialement pensée pour l'iPad. La réflexion va plus loin que l'ajout de widgets (qui seraient l'équivalent des tuiles de Windows) sur l'écran d'accueil.

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Le designer Khoi Vinh, qui est passé notamment par le New York Times et Adobe, a beau adorer travailler sur iPad, il explique qu'« il y a beaucoup de choses que le Mac fait encore mieux aujourd'hui. » Et de citer ce qui lui manque sur la tablette d'Apple : pouvoir installer des polices supplémentaires, parcourir efficacement l'ensemble de ses fichiers, se libérer de la pellicule d'iOS, régler la colorimétrie de l'écran... Autant de choses qui sont réalisables avec Windows 10 (et OS X).

Pour autant, il n'est pas question de porter OS X tel quel sur iPad Pro. Ce serait engendrer une nouvelle catastrophe ergonomique. Après le mouvement « back to the Mac », qui a consisté à apporter à OS X des fonctions et applications apparues en premier sur iOS, pourquoi pas un « come to iOS/padOS » ?

Des technologies récemment mises en place par Apple portent en germe un possible rapprochement entre OS X et iOS. On pense au framework UXKit qui permettrait de porter facilement des apps entre les deux systèmes et à l'app slicing qui donnerait la possibilité de faire des applications universelles et un App Store commun aux deux plateformes.

Ce que la Surface Pro 4 devrait copier sur l'iPad Pro

L'herbe n'est pas totalement plus verte chez Microsoft. Si la Surface Pro 4 a des atouts significatifs, elle souffre aussi de la comparaison avec l'iPad Pro sur des points non négligeables.

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L'autonomie

L'autonomie de l'iPad Pro, qui est pourtant le moins endurant des iPad, est largement supérieure à celle de la Surface Pro 4. En utilisation courante, la tablette de Microsoft a tenu environ 6 heures en moyenne. L'iPad Pro s'est éteint au bout de trois heures supplémentaires en moyenne.

Pas la peine d'aller chercher l'explication bien loin ; la capacité de la batterie de l'iPad Pro est deux fois supérieure à celle de son concurrent. L'A9X est aussi sûrement plus économe que le Core i5 d'Intel.

Les haut-parleurs

L'iPad Pro écrase aussi la Surface Pro 4 en matière de son. Ses quatre haut-parleurs délivrent un son beaucoup plus riche et puissant que les deux haut-parleurs Dolby de son rival. La différence est criante entre les deux.

La finition

La Surface Pro 4 est un bel objet, mais elle souffre malheureusement d'une finition imparfaite. Sur notre exemplaire, il y a une fuite de lumière en bas de l'écran. Elle est uniquement visible quand un élément noir est affiché, comme l'écran de démarrage (photo ci-dessous).

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Cette fuite n'est pas foncièrement gênante, mais au vu du prix de l'appareil, on est en droit d'attendre une finition irréprochable comme le propose l'iPad Pro. Le problème n'est pas isolé, d'autres utilisateurs font état de la même fuite de lumière.

Touch ID

Quand on est habitué à utiliser Touch ID pour déverrouiller son iPad et des applications, il est difficile de devoir se remettre à saisir ses mots de passe. Microsoft a bien pensé à un lecteur d'empreintes digitales, mais celui-ci se trouve sur un clavier Type Cover qui n'est pas encore vendu en France. Dommage.

La précision du stylet

L'Apple Pencil n'a ni gomme ni bouton, oui, mais il est plus précis et naturel. Pas de pointeur à l'écran ni de mine qui s'écrase, il fait dans l'immédiateté et fonctionne à merveille. Le stylet de Microsoft est très satisfaisant pour annoter une page web ou griffonner dans OneNote, mais quand il s'agit de dessiner minutieusement, il est un cran en dessous du Pencil.

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La simplicité d'utilisation

Malgré des efforts indéniables de simplification, Windows 10 reste bien plus compliqué à utiliser qu'iOS. Le mode tablette, qui adapte l'interface à une utilisation entièrement tactile (tuiles sur la totalité de l'écran, ajout d'un bouton retour, simplification de la barre d'outils...), est dans l'ensemble bien pensé, mais on est obligé d'en sortir à un moment ou à un autre pour télécharger une application aussi populaire qu'iTunes, Spotify, Chrome ou même Skype, qui ne figure pas sur le Windows Store.

Le mode tablette avec le centre de notifications ouvert - Cliquer pour agrandir

Et là, non seulement il faut essayer de viser juste avec ses doigts dans une interface pas du tout adaptée au tactile si on a détaché le clavier, mais en plus le côté obscur de Windows refait surface. Juste après l'installation de Spotify par exemple, le système affiche une « alerte de sécurité » qui risque de méduser plus d'un utilisateur lambda.

Le mode classique - Cliquer pour agrandir

Même quand elles sont disponibles à travers le Windows Store, les applications sont dans l'ensemble moins adaptées au tactile que celles de l'iPad. Les textes sont parfois un peu petit et les gestes tactiles sous-exploités. Alors que les applications de l'iPad Pro ont été conçues dès le départ pour une utilisation tactile, certaines de la Surface Pro 4 traînent un lourd héritage clavier-souris.

On finit par comprendre au bout de quelques jours que le stylet de la Surface Pro 4 ne sert pas seulement à dessiner, mais qu'il a aussi un vrai rôle de dispositif de pointage, au même titre que le trackpad.

Il manque par ailleurs quelques raccourcis utiles au mode tablette, comme le contrôle de la musique et le réglage de la luminosité sans passer par les applications correspondantes. À noter que le réglage automatique de la luminosité se comporte bizarrement : quand on affiche quelque chose de sombre à l'écran, la luminosité s'effondre parfois aussitôt.

Allez savoir pourquoi, il n'y a pas un panneau de configuration, mais deux. Tous les paramètres de l'ancien panneau finiront certainement par rejoindre le nouveau un jour, mais en attendant, on doit composer avec les deux.

Modernité... Cliquer pour agrandir
et tradition. Cliquer pour agrandir

Autre point frustrant propre à la Surface Pro 4, le nombre de redémarrages pour appliquer les mises à jour successives. Au cours des quatre premiers jours, on a eu droit à au moins trois redémarrages pour cette raison. On apprécie que Microsoft fasse évoluer rapidement Windows 10, mais une mise à jour cumulative serait la bienvenue. D'ailleurs, l'installation d'une mise à jour s'est terminée par un écran d'erreur. Un redémarrage a suffi à remettre les choses dans l'ordre, mais cette mésaventure n'est pas arrivée qu'une fois.

On a essuyé plusieurs redémarrages intempestifs et bugs significatifs en l'espace d'une semaine seulement. L'iPad Pro n'est pas exempt de problèmes, on a pu constater par nous-mêmes le blocage qui est censé être corrigé avec iOS 9.2, mais sa stabilité est très largement supérieure.

Pour conclure

Au vu de la liste des avantages de la Surface Pro 4, on ne serait pas étonné que Microsoft relance ses publicités comparatives. L'éditeur pourrait facilement mettre en scène les points faibles de l'iPad Pro : un stylet qu'on ne sait pas comment transporter, une ergonomie limitée voire nulle sans accessoire, un écran d'accueil statique, une incapacité à brancher une clé USB... Mais quand on regarde les atouts de l'iPad Pro, on remarque que c'est lui qui propose la meilleure expérience utilisateur... pourvu que l'on cherche avant tout une tablette.

Car on se rend compte finalement qu'au-delà de leur profil similaire, ces deux produits sont assez éloignés sur le fond. L'iPad Pro est en premier lieu une tablette, tandis que la Surface Pro 4 est un ordinateur portable avant tout. Ni l'un ni l'autre n'est cet appareil hybride capable de remplacer parfaitement un ordinateur portable et une tablette.

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Le plus gros défaut de la Surface Pro 4 est d'avoir un système d'ordinateur et de l'iPad Pro d'avoir un système de smartphone. Qui trouvera le juste milieu en premier ?

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