À force, on ne va plus savoir comment vous remercier. Plus d’un millier d’entre vous ont maintenant soutenu la campagne de sociofinancement pour notre 25e anniversaire. Grâce à votre soutien, nous pourrons concevoir notre magazine dans les meilleures conditions, et puisque nous avons collecté plus de 50 000 €, nous allons même pouvoir choisir la meilleure qualité de papier offerte par notre fournisseur pour vous livrer un véritable objet de collection. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?
Un nouvel objectif à 100 000 €
Le prochain objectif, fixé à 68 040 €, est en vue. Si nous le dépassons, nous vous laisserons le soin de choisir la nouvelle machine de notre rédacteur en chef, qui s’accroche à son MacBook Pro 13″ à processeur Intel. Comme nous ne sommes pas complètement sadiques, nous vous soumettrons une liste de configurations, tant pis pour ceux qui pensaient le faire travailler sur un Quadra 630 (voire, pire, sous Windows). Mais comme nous ne sommes pas complètement bienveillants, nous vous inviterons à pourrir sa machine avec plein d’autocollants.
Notre développeur Cédric, qui a travaillé autant que moi et Christophe à la conception de ce projet, mentionne régulièrement les paper toys, ces feuilles de carton que l’on découpe et que l’on plie pour former de petites décorations. Il a fini par nous convaincre de proposer un nouveau palier, et donc si nous dépassons 100 000 €, nous glisserons un paper toy d’un produit Apple dans le magazine. Vous pourrez voter pour le modèle de votre choix à l’issue de la campagne de sociofinancement.
Une nouvelle option pour les livraisons à l’étranger
Avec 124 pages de 115 g/m² et une couverture de 250 g/m², notre magazine était déjà un joli bébé frôlant les 500 grammes. Avec 128 pages de 130 g/m² et une couverture de 300 g/m², la palette de 1 000 exemplaires dépasse allègrement la demi-tonne. Ajoutez l’inflation de la livraison suivie, le cout du stockage et de la manutention, ainsi que le prix de l’enveloppe renforcée pour assurer qu’il arrive en parfait état, et vous comprenez mieux les frais de port.
Cela étant dit, nous avons bien compris qu’ils pouvaient sembler excessifs pour la poignée de pays européens que nous n’avons pas explicitement prévus et pour la livraison transatlantique. Nous vous proposons donc une option avec un prestataire plus abordable, en échange d’une livraison plus lente avec un suivi jusqu’à la distribution dans certains pays, mais seulement jusqu’à la frontière pour les autres. Si vous avez déjà précommandé un exemplaire, vous pouvez annuler votre contribution et choisir la nouvelle contrepartie « Magazine à l’étranger » si vous le souhaitez.