Pour une machine censée être à l'article de la mort il y a un an à peine, le Mac mini s'est bien repris. Cette version 2011 est la première à utiliser des processeurs Core i, la première avec un port Thunderbolt, la première embarquant une puce graphique dédiée depuis le passage à Intel, la première même sans SuperDrive. Et il s'agit de la première machine livrée avec OS X Lion que nous testons. Apple promet des performances doublées par rapport à la génération précédente : pari tenu ?
Sans le disque !
C'est la principale évolution de cette année : le Mac mini 2011 n'a plus de lecteur optique, à l'instar du MacBook Air renouvelé en même temps que lui. Sans SuperDrive, le Mac mini ressemble encore un peu plus à l'ancien Apple TV qu'il remplace souvent au pied de la télé.
Apple n'a pas supprimé le SuperDrive pour encore rapetisser le Mac mini : il s'agit d'une décision purement industrielle permettant de rationaliser le flux de production. Mac mini et Mac mini serveur sont désormais une seule et même machine, à l'intérieur comme à l'extérieur. Ainsi, il y a de la place dans le Mac mini pour un deuxième disque, à la place où on aurait trouvé autrefois le lecteur optique. Il vous « suffira » d'extraire l'ensemble des composants de la machine et de trouver la nappe SATA adaptée pour vous brancher au deuxième connecteur présent sur la carte-mère.
Apple réalise ainsi des économies d'échelle, et en fait pour une fois profiter les clients. Le Mac mini a ainsi perdu 200 € et est à nouveau proposé à 599 €. Le modèle haut de gamme que nous testons ici, le Core i5 bicœur à 2,5 GHz avec la carte AMD Radeon HD 6630M, est ainsi au prix de l'entrée de la gamme précédente, 799 €.
Premières fois
Ce modèle, justement, cumule les « premières fois ». Comme le reste de la gamme, il accueille pour la première fois un processeur Core i, plus précisément un Core i5 de deuxième génération ou « Sandy Bridge », le i5-2510E. Doté de deux cœurs physiques, ce processeur supporte l'HyperThreading : ce sont donc quatre cœurs logiques qui sont à votre disposition. Quatre cœurs cadencés à 2,5 GHz, mais le Turbo Boost permet de monter jusqu'à 3,1 GHz sur un cœur dans les applications qui ne sont pas optimisées.
Apple livre 4 Go de RAM DDR-3 1333 MHz, et permet de monter à 8 Go en option. La plateforme i5-2510E supporte néanmoins jusqu'à 16 Go, une possibilité pour le moment hors de prix (960 € pour deux barrettes de 8 Go), mais qui permet d'envisager un futur serein pour cette machine. Souvenez-vous que les barrettes de RAM se changent « en deux temps trois mouvements » comme le dit Apple : il n'y a qu'un couvercle à enlever, sans même qu'un tournevis ne vous soit utile.
Sur le modèle d'entrée de gamme, Apple utilise la puce graphique Intel HD Graphics 3000 de la plateforme Sandy Bridge. Mais ce modèle haut de gamme est le premier à embarquer une carte graphique dédiée depuis le passage aux processeurs Intel ! Comme du temps du Mac mini G4 et de sa Radeon 9200, Apple a fait le choix d'AMD. La Radeon HD 6630M en question est une carte de milieu de gamme destinée aux ordinateurs portables et aux HTPC, cadencée à 485 MHz et dotée de 480 shaders. Elle est grossièrement deux fois plus puissante que la puce Intel HD Graphics 3000, et s'intercale entre la Radeon HD 4870, plus puissante, et la NVIDIA GeForce GT 330M, moins puissante.
Finissons ce tour du propriétaire par la mention d'un port Thunderbolt pour le moment limitée à quelques systèmes RAID et un écran… Apple, qui vient rejoindre le port HDMI toujours fidèle au poste. Si Apple fournit un adaptateur HDMI/DVI, elle ne fournit par contre pas de câble Thunderbolt.
Ça envoie…
L'ensemble de ces nouveautés permettrait de doubler les performances par rapport à la génération précédente assure Apple. La réalité n'est pas tout à fait éloignée de ce chiffre : le bond en performances est impressionnant.
Quoiqu'assez artificiels, les tests bruts donnent une bonne idée du niveau moyen de performances de la machine. Geekbench s'attache surtout à mesurer les performances du processeur (mais il est mal optimisé multi-cœur) et de la mémoire, alors que Cinebench R11 teste plutôt les performances graphiques (mais aussi le processeur, et cette fois avec tous les cœurs). Les résultats sont sans appel : au petit jeu de Geekbench, le Mac mini 2010 est laissé sur place.
Sous Cinebench, le Mac mini 2011 Core i5 2,5 GHz s'intercale logiquement entre le MacBook Pro Core i5 2,3 GHz et le MacBook Pro Core i7 2,7 GHz du point de vue du processeur. L'iMac 21,5" survole les débats grâce à ses quatre cœurs. Côté carte graphique, la logique est respectée : l'AMD Radeon HD 6630M du Mac mini affiche deux fois plus d'images par seconde que la puce Intel HD Graphics 3000 des MacBook Pro 13", que l'on retrouve dans le Mac mini d'entrée de gamme. On mesure par contre l'écart avec une carte plus puissante comme la Radeon HD 6750M de l'iMac.
Les tests applicatifs sont sans conteste plus proches de l'usage quotidien d'un Mac, et sont donc peut-être plus parlants. Les écarts sont assez creusés entre les deux générations de Mac mini : le 2011 n'est pas deux fois plus rapides que le 2010, mais plutôt 1,5 fois. Ce n'est pas un gain que l'on voit tous les jours entre deux générations de Mac, et c'est encore une fois la plateforme Sandy Bridge qu'il faut remercier, elle qui a déjà mis un sacré coup de fouet aux iMac et aux MacBook Pro.
Dans la plupart des tests, le Mac mini Core i5 est légèrement plus rapide que le MacBook Pro 13" Core i5, grâce à sa fréquence légèrement plus élevée (2,5 contre 2,3 GHz). Malgré un disque dur d'une lenteur proverbiale et une fréquence cette fois légèrement moins élevée (2,5 contre 2,7 GHz), il arrive néanmoins à rivaliser avec le MacBook Pro 13" Core i7 sur certaines tâches.
Ce Mac mini est donc une machine très confortable, toujours aussi plaisante pour des tâches quotidiennes (bureautique, navigation Internet, etc.), mais qui en a aussi sous le capot pour des tâches plus lourdes (traitement photo, exportation vidéo), à condition d'être conscient des limites du disque dur faiblard. Cette carte graphique dédiée lui donne cependant un autre visage : Starcraft II tourne sans problème (35 FPS) en 1280x800 avec les options graphiques élevées. Un Mac mini qui se débrouille en jeux (on ne parle évidemment pas d'un Crysis, ni même d'un bon FPS en 1080p), ce n'est pas tous les jours qu'on a vu ça chez Apple.
…et ça dégage !
Ce gain en puissance a toutefois un coût : la température moyenne de fonctionnement est un peu plus élevée que d'habitude, alors qu'aucun Mac mini n'a jamais été particulièrement froid. Il n'est pas rare de voir cet ordinateur tourner à 70 ou 75°, 10 à 15 bons degrés de plus que la génération précédente.
On avait déjà fait ce constat avec les MacBook Pro Sandy Bridge, mais heureusement, le Mac mini sait se contrôler. Les ventilateurs ne commencent à se faire entendre qu'au-delà de 85°, et il faut encoder une vidéo pour monter à ces températures là (et se faire une frayeur en lisant 98° sur la sonde).
Globalement donc, ce Mac mini reste la machine silencieuse qu'il a toujours été : on ne risque donc pas de l'entendre pendant la lecture d'un film sur le grand écran au pied duquel il est installé, dans le salon. Apple avait ajouté un port HDMI au Mac mini en reconnaissant qu'il était beaucoup utilisé comme media-center, l'Apple TV ne sachant pas tout faire. Et ce que l'Apple TV ne sait pas faire, c'est par exemple lire un DVD. Ce que ne peut plus faire non plus le Mac mini, désormais dépourvu de SuperDrive.
Ce retrait est-il un problème ? Tout dépendra de votre profil. Si le Mac mini est pour vous d'abord et avant tout une machine de bureau, cette évolution est logique et inéluctable, quoique peut-être un peu soudaine. La plupart des applications sont disponibles directement sur Internet, sur le site de leur éditeur ou dans le Mac App Store — y compris Microsoft Office ou la Creative Suite d'Adobe, quoique certains fort mal renseignés en disent. La sauvegarde se fait depuis bien longtemps sur disque dur, procédure facilitée par Apple avec Time Machine, et les médias s'acquièrent de plus en plus sous leur forme numérique, légalement ou pas. Pour des besoins ponctuels, on peut même emprunter le lecteur d'un autre ordinateur, PC ou Mac, à distance.
On pourrait continuer la liste des arguments justifiant cette suppression. Jusqu'à se faire arrêter… oui, par les gens qui ont besoin d'un lecteur DVD. Qu'ils aient toujours l'habitude d'archiver sur DVD (ou l'obligation) ou qu'ils aient toujours l'habitude d'acheter des CD et des DVD (et encore une fois, le port HDMI n'est pas là pour rien), ils passeront leur chemin. Ou achèteront le SuperDrive externe d'Apple, ajoutant 79 € à la facture — la baisse de prix sera alors en trompe-l'œil.
Oui, ce Mac mini est sans aucun doute une excellente machine, puissante, confortable, silencieuse… passe-partout ? Moins qu'avant, à cause du retrait du SuperDrive, qui ne saurait être tout à fait justifié par la baisse de prix. Ce Mac mini haut de gamme 2011 reste une excellente affaire, il est seulement moins polyvalent. C'est le progrès.
Sans le disque !
C'est la principale évolution de cette année : le Mac mini 2011 n'a plus de lecteur optique, à l'instar du MacBook Air renouvelé en même temps que lui. Sans SuperDrive, le Mac mini ressemble encore un peu plus à l'ancien Apple TV qu'il remplace souvent au pied de la télé.
Apple TV ou Apple TV ?
Apple n'a pas supprimé le SuperDrive pour encore rapetisser le Mac mini : il s'agit d'une décision purement industrielle permettant de rationaliser le flux de production. Mac mini et Mac mini serveur sont désormais une seule et même machine, à l'intérieur comme à l'extérieur. Ainsi, il y a de la place dans le Mac mini pour un deuxième disque, à la place où on aurait trouvé autrefois le lecteur optique. Il vous « suffira » d'extraire l'ensemble des composants de la machine et de trouver la nappe SATA adaptée pour vous brancher au deuxième connecteur présent sur la carte-mère.
Le Mac mini est un des rares Mac a être en partie vide. Si vous trouvez la bonne nappe, vous pourrez utiliser le connecteur entouré en rouge pour brancher un deuxième disque. Image CC BY-NC-SA iFixit.
Apple réalise ainsi des économies d'échelle, et en fait pour une fois profiter les clients. Le Mac mini a ainsi perdu 200 € et est à nouveau proposé à 599 €. Le modèle haut de gamme que nous testons ici, le Core i5 bicœur à 2,5 GHz avec la carte AMD Radeon HD 6630M, est ainsi au prix de l'entrée de la gamme précédente, 799 €.
Premières fois
Ce modèle, justement, cumule les « premières fois ». Comme le reste de la gamme, il accueille pour la première fois un processeur Core i, plus précisément un Core i5 de deuxième génération ou « Sandy Bridge », le i5-2510E. Doté de deux cœurs physiques, ce processeur supporte l'HyperThreading : ce sont donc quatre cœurs logiques qui sont à votre disposition. Quatre cœurs cadencés à 2,5 GHz, mais le Turbo Boost permet de monter jusqu'à 3,1 GHz sur un cœur dans les applications qui ne sont pas optimisées.
Apple livre 4 Go de RAM DDR-3 1333 MHz, et permet de monter à 8 Go en option. La plateforme i5-2510E supporte néanmoins jusqu'à 16 Go, une possibilité pour le moment hors de prix (960 € pour deux barrettes de 8 Go), mais qui permet d'envisager un futur serein pour cette machine. Souvenez-vous que les barrettes de RAM se changent « en deux temps trois mouvements » comme le dit Apple : il n'y a qu'un couvercle à enlever, sans même qu'un tournevis ne vous soit utile.
Sur le modèle d'entrée de gamme, Apple utilise la puce graphique Intel HD Graphics 3000 de la plateforme Sandy Bridge. Mais ce modèle haut de gamme est le premier à embarquer une carte graphique dédiée depuis le passage aux processeurs Intel ! Comme du temps du Mac mini G4 et de sa Radeon 9200, Apple a fait le choix d'AMD. La Radeon HD 6630M en question est une carte de milieu de gamme destinée aux ordinateurs portables et aux HTPC, cadencée à 485 MHz et dotée de 480 shaders. Elle est grossièrement deux fois plus puissante que la puce Intel HD Graphics 3000, et s'intercale entre la Radeon HD 4870, plus puissante, et la NVIDIA GeForce GT 330M, moins puissante.
Finissons ce tour du propriétaire par la mention d'un port Thunderbolt pour le moment limitée à quelques systèmes RAID et un écran… Apple, qui vient rejoindre le port HDMI toujours fidèle au poste. Si Apple fournit un adaptateur HDMI/DVI, elle ne fournit par contre pas de câble Thunderbolt.
Ça envoie…
L'ensemble de ces nouveautés permettrait de doubler les performances par rapport à la génération précédente assure Apple. La réalité n'est pas tout à fait éloignée de ce chiffre : le bond en performances est impressionnant.
Quoiqu'assez artificiels, les tests bruts donnent une bonne idée du niveau moyen de performances de la machine. Geekbench s'attache surtout à mesurer les performances du processeur (mais il est mal optimisé multi-cœur) et de la mémoire, alors que Cinebench R11 teste plutôt les performances graphiques (mais aussi le processeur, et cette fois avec tous les cœurs). Les résultats sont sans appel : au petit jeu de Geekbench, le Mac mini 2010 est laissé sur place.
Sous Cinebench, le Mac mini 2011 Core i5 2,5 GHz s'intercale logiquement entre le MacBook Pro Core i5 2,3 GHz et le MacBook Pro Core i7 2,7 GHz du point de vue du processeur. L'iMac 21,5" survole les débats grâce à ses quatre cœurs. Côté carte graphique, la logique est respectée : l'AMD Radeon HD 6630M du Mac mini affiche deux fois plus d'images par seconde que la puce Intel HD Graphics 3000 des MacBook Pro 13", que l'on retrouve dans le Mac mini d'entrée de gamme. On mesure par contre l'écart avec une carte plus puissante comme la Radeon HD 6750M de l'iMac.
Les tests applicatifs sont sans conteste plus proches de l'usage quotidien d'un Mac, et sont donc peut-être plus parlants. Les écarts sont assez creusés entre les deux générations de Mac mini : le 2011 n'est pas deux fois plus rapides que le 2010, mais plutôt 1,5 fois. Ce n'est pas un gain que l'on voit tous les jours entre deux générations de Mac, et c'est encore une fois la plateforme Sandy Bridge qu'il faut remercier, elle qui a déjà mis un sacré coup de fouet aux iMac et aux MacBook Pro.
Dans la plupart des tests, le Mac mini Core i5 est légèrement plus rapide que le MacBook Pro 13" Core i5, grâce à sa fréquence légèrement plus élevée (2,5 contre 2,3 GHz). Malgré un disque dur d'une lenteur proverbiale et une fréquence cette fois légèrement moins élevée (2,5 contre 2,7 GHz), il arrive néanmoins à rivaliser avec le MacBook Pro 13" Core i7 sur certaines tâches.
Cliquez pour agrandir.
Ce Mac mini est donc une machine très confortable, toujours aussi plaisante pour des tâches quotidiennes (bureautique, navigation Internet, etc.), mais qui en a aussi sous le capot pour des tâches plus lourdes (traitement photo, exportation vidéo), à condition d'être conscient des limites du disque dur faiblard. Cette carte graphique dédiée lui donne cependant un autre visage : Starcraft II tourne sans problème (35 FPS) en 1280x800 avec les options graphiques élevées. Un Mac mini qui se débrouille en jeux (on ne parle évidemment pas d'un Crysis, ni même d'un bon FPS en 1080p), ce n'est pas tous les jours qu'on a vu ça chez Apple.
…et ça dégage !
Ce gain en puissance a toutefois un coût : la température moyenne de fonctionnement est un peu plus élevée que d'habitude, alors qu'aucun Mac mini n'a jamais été particulièrement froid. Il n'est pas rare de voir cet ordinateur tourner à 70 ou 75°, 10 à 15 bons degrés de plus que la génération précédente.
On avait déjà fait ce constat avec les MacBook Pro Sandy Bridge, mais heureusement, le Mac mini sait se contrôler. Les ventilateurs ne commencent à se faire entendre qu'au-delà de 85°, et il faut encoder une vidéo pour monter à ces températures là (et se faire une frayeur en lisant 98° sur la sonde).
Globalement donc, ce Mac mini reste la machine silencieuse qu'il a toujours été : on ne risque donc pas de l'entendre pendant la lecture d'un film sur le grand écran au pied duquel il est installé, dans le salon. Apple avait ajouté un port HDMI au Mac mini en reconnaissant qu'il était beaucoup utilisé comme media-center, l'Apple TV ne sachant pas tout faire. Et ce que l'Apple TV ne sait pas faire, c'est par exemple lire un DVD. Ce que ne peut plus faire non plus le Mac mini, désormais dépourvu de SuperDrive.
Ce retrait est-il un problème ? Tout dépendra de votre profil. Si le Mac mini est pour vous d'abord et avant tout une machine de bureau, cette évolution est logique et inéluctable, quoique peut-être un peu soudaine. La plupart des applications sont disponibles directement sur Internet, sur le site de leur éditeur ou dans le Mac App Store — y compris Microsoft Office ou la Creative Suite d'Adobe, quoique certains fort mal renseignés en disent. La sauvegarde se fait depuis bien longtemps sur disque dur, procédure facilitée par Apple avec Time Machine, et les médias s'acquièrent de plus en plus sous leur forme numérique, légalement ou pas. Pour des besoins ponctuels, on peut même emprunter le lecteur d'un autre ordinateur, PC ou Mac, à distance.
On pourrait continuer la liste des arguments justifiant cette suppression. Jusqu'à se faire arrêter… oui, par les gens qui ont besoin d'un lecteur DVD. Qu'ils aient toujours l'habitude d'archiver sur DVD (ou l'obligation) ou qu'ils aient toujours l'habitude d'acheter des CD et des DVD (et encore une fois, le port HDMI n'est pas là pour rien), ils passeront leur chemin. Ou achèteront le SuperDrive externe d'Apple, ajoutant 79 € à la facture — la baisse de prix sera alors en trompe-l'œil.
Oui, ce Mac mini est sans aucun doute une excellente machine, puissante, confortable, silencieuse… passe-partout ? Moins qu'avant, à cause du retrait du SuperDrive, qui ne saurait être tout à fait justifié par la baisse de prix. Ce Mac mini haut de gamme 2011 reste une excellente affaire, il est seulement moins polyvalent. C'est le progrès.