"La souris qui marche n'importe où" c'est la promesse de ce petit périphérique de Kensington, le SlimBlade Trackball Mouse, qui tente le mariage entre souris et trackball. Mariage heureux ? Ça dépend… Cette souris est de type Bluetooth. Comparée à son homologue chez Apple, la Mighty Mouse sans fil elle est plus ramassée, gainée de caoutchouc, plus plate (mais pas trop, comme c'est aujourd'hui la mode) et moins pesante malgré ses deux 2 piles AA.
Contrairement au modèle d'Apple on ne peut la faire fonctionner sur une seule pile afin de l'alléger, mais on a aussi un interrupteur pour l'éteindre et ainsi ménager ses piles (l'autonomie donnée est de six mois). En résumé, on a affaire à une souris un peu lourde comme toutes les sans-fil, mais de bonne et belle factures et plutôt confortable.
Son originalité tient dans sa petite boule qui remplace les molettes et autres billes. Lorsqu'on appuie deux fois rapidement sur la surface-bouton qui entoure cette boule, celle-ci prend les commandes pour diriger le curseur à l'écran. On aura beau alors déplacer la souris sur la table, à l'écran le curseur reste de marbre.
ll faut au départ une certaine dextérité pour maîtriser ce dispositif et encore plus lorsqu'on veut par exemple déplacer une fenêtre. Il faut manipuler la boule tout en appuyant sur l'un des boutons latéraux, tout cela dans 1 cm2… Ce qui fait dire à Kensington que même dans un espace ultra confiné on pourra, souris coincée, diriger son curseur. On imagine bien le cas classique de la tablette en avion ou dans le train. Mais dans ces situations, sauf à être absolument allergique aux trackpads des portables, ceux-ci demeurent plus pratiques et plus précis.
Un élément de confort aurait été de pouvoir ajuster plus finement la vitesse de déplacement. Mais le pilote MouseWorks 3.0 ne détecte pas cette souris (testé avec Mac OS 10.4.11, 10.5.2 et 10.5.3). Il est d'ailleurs bizarrement installé hors du dossier supposé le recevoir (PreferencesPanes). Et l'y replacer manuellement ne change rien. On s'appuie alors sur le panneau Clavier et souris de Mac OS X dont les réglages de sensibilité n'ont jamais été le point fort.
Une fois débrayée pour revenir à une utilisation standard, la boule n'a rien à envier à celle de la Mighty Mouse, simulant un petit effet sonore, peu gênant, lorsqu'elle tourne. A noter que le bouton central est assez dur à la pression, ce n'est pas embêtant lorsqu'il s'agit de basculer en mode trackball, mais ça l'est plus le reste du temps. On ne lui affectera pas de commandes trop souvent sollicitées.
Originale cette souris l'est et de fait elle n'intéressera qu'une catégorie assez réduite d'utilisateurs. Les trackball ont toujours eu de farouches détracteurs et partisans, et celui-ci ne fera pas exception, d'autant que le prix est élevé.
Contrairement au modèle d'Apple on ne peut la faire fonctionner sur une seule pile afin de l'alléger, mais on a aussi un interrupteur pour l'éteindre et ainsi ménager ses piles (l'autonomie donnée est de six mois). En résumé, on a affaire à une souris un peu lourde comme toutes les sans-fil, mais de bonne et belle factures et plutôt confortable.
Son originalité tient dans sa petite boule qui remplace les molettes et autres billes. Lorsqu'on appuie deux fois rapidement sur la surface-bouton qui entoure cette boule, celle-ci prend les commandes pour diriger le curseur à l'écran. On aura beau alors déplacer la souris sur la table, à l'écran le curseur reste de marbre.
ll faut au départ une certaine dextérité pour maîtriser ce dispositif et encore plus lorsqu'on veut par exemple déplacer une fenêtre. Il faut manipuler la boule tout en appuyant sur l'un des boutons latéraux, tout cela dans 1 cm2… Ce qui fait dire à Kensington que même dans un espace ultra confiné on pourra, souris coincée, diriger son curseur. On imagine bien le cas classique de la tablette en avion ou dans le train. Mais dans ces situations, sauf à être absolument allergique aux trackpads des portables, ceux-ci demeurent plus pratiques et plus précis.
Un élément de confort aurait été de pouvoir ajuster plus finement la vitesse de déplacement. Mais le pilote MouseWorks 3.0 ne détecte pas cette souris (testé avec Mac OS 10.4.11, 10.5.2 et 10.5.3). Il est d'ailleurs bizarrement installé hors du dossier supposé le recevoir (PreferencesPanes). Et l'y replacer manuellement ne change rien. On s'appuie alors sur le panneau Clavier et souris de Mac OS X dont les réglages de sensibilité n'ont jamais été le point fort.
Une fois débrayée pour revenir à une utilisation standard, la boule n'a rien à envier à celle de la Mighty Mouse, simulant un petit effet sonore, peu gênant, lorsqu'elle tourne. A noter que le bouton central est assez dur à la pression, ce n'est pas embêtant lorsqu'il s'agit de basculer en mode trackball, mais ça l'est plus le reste du temps. On ne lui affectera pas de commandes trop souvent sollicitées.
Originale cette souris l'est et de fait elle n'intéressera qu'une catégorie assez réduite d'utilisateurs. Les trackball ont toujours eu de farouches détracteurs et partisans, et celui-ci ne fera pas exception, d'autant que le prix est élevé.