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Musique dans le nuage : iTunes Match, Spotify et les autres

Stéphane Moussie

jeudi 07 février 2013 à 15:36 • 39

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Les possibilités pour écouter de la musique ont considérablement évolué ces dernières années avec l’arrivée des services de streaming, de stockage dans le nuage et de terminaux connectés en permanence (ou presque) en 3G. iTunes Match a fêté son premier anniversaire récemment, Spotify compte plus de 20 millions d’utilisateurs tandis que le français Deezer en revendique 26 millions, Google et Amazon ont chacun leur service...

Cette offre pléthorique vous a-t-elle incitée à déporter votre musique dans le nuage ? Si oui, quel(s) service(s) utilisez-vous pour consommer de la musique ? C’était l’objet de notre dernier appel à témoins auquel vous avez été plus d’une centaine à répondre.

Photo Joshua Blount CC BY


Sans réelle surprise, iTunes Match est le service le plus cité tandis que Spotify a aussi ses partisans. Une petite dizaine de témoins dit ne pas utiliser de telles solutions pour diverses raisons. Revue des témoignages.

iTunes Match, au centre des produits Apple



Quasiment la moitié de la centaine des témoignages est consacrée à iTunes Match. Lancé en novembre 2011, ce service payant (24,99 € par an) permet d’écouter en streaming sa bibliothèque iTunes sur tous les terminaux liés à son compte iCloud (lire : iTunes Match : c’est quoi et comment ça marche ?). Autrement dit, plus besoin d’avoir ses morceaux stockés en local sur son iPhone ou sur son Mac pour les écouter.

Vous êtes nombreux à louer son intégration à l’écosystème Apple, incontestablement son point fort. La souscription à iTunes Match paraît tout à fait naturelle pour beaucoup d’entre vous, le service étant parfaitement intégré à iTunes et à l’application Musique des terminaux iOS.

Pour jmquidet qui diffuse de la musique via AirPlay vers un Apple TV et vers des bornes AirPort Express, « tout est transparent, pas de soucis de synchro, ça se fait tout seul en temps réel. [...] Je ne pose même pas la question du coût d’abonnement tellement cela me facilite la vie ! »

Le gain d’espace de stockage et, corollairement, le fait de ne pas avoir à acheter un appareil avec un gros SSD sont également des arguments importants. Vous êtes plusieurs à déclarer économiser de l’argent grâce à iTunes Match :

« Avec mes 256Go d’espace disque sur le SSD du MacBook Air, le fait de supprimer entièrement cette bibliothèque fait respirer ma machine ! » Mourtou


« iTunes Match me fait économiser plus ou moins 400€ par an. J’ai environ 30 à 40Go de musique, et emmener toute ma bibliothèque avec moi me forcerait à acheter un iPhone et un iPad 64Go. Au final j’ai un iPhone 16Go et un iPad Mini 3G 16Go (sic) mais j’emporte partout toute ma musique (le tout via 3G ou en préchargement quand je pars à l’étranger). » BiByFok


« J’avais toute ma musique (une cinquantaine de Go) sur mon iPod 4G et je voulais y avoir accès aussi sur mon iPhone sans avoir à débourser le double à l’achat du téléphone ! » guizmo47


iOS 6.1 a introduit la possibilité de ne télécharger qu’un morceau pour une écoute hors connexion plutôt qu’un album entier. Une fonction saluée par plusieurs utilisateurs, dont ch4zyx.



Un service pas sans défaut



Si vous êtes près de la moitié à utiliser iTunes Match, tout n’est pas parfait non plus. Des reproches de différentes natures lui sont faits. Anarchy23 critique le bazar que met iTunes Match dans les pochettes d’album qu’il avait soigneusement ajouté à la main. Pattedechat parle lui de « temps de chargement des morceaux trop longs » et saladisiac appuie ces dires : « l’application Musique avant si agréable est devenue un monstre de lenteur ». La limite des 25 000 morceaux est rédhibitoire pour certains qui se tournent alors vers d’autres solutions.

FANREM fait part d’un autre problème qui n’est pas imputable directement à iTunes Match : « Dans la maison, tout fonctionne parfaitement, et relativement rapidement. Par contre, sorti de ce lieu, tout n’est pas rose. Sitôt sorti dans la rue, plus de musique, et le sigle 3G de l’iPhone qui clignote sans arrêt, et naturellement pas de musique non plus pendant le trajet. »

À moins de télécharger ses morceaux sur son appareil, l’utilisateur dépend en effet de sa connexion Internet pour écouter sa musique. Tankiste le souligne lui aussi : « je suis dépendant de ma quantité de DATA, qui a tendance à bien baisser au fil du temps. Heureusement que j’ai ma musique favorite téléchargée ce qui limite les dégâts... » Une situation qui est valable immanquablement pour tous les services de streaming et pas seulement pour iTunes Match.

Vous êtes une demi-dizaine à utiliser iTunes Match ainsi qu’un autre service de streaming. HartmanDLCB explique que la solution d’Apple et Spotify sont complémentaires : « Avec iTunes Match, je garde MA musique toujours près de moi. [...] Quant à Spotify il a l’avantage de pouvoir faire parfois de belles découvertes, qui de temps en temps finissent dans ma bibliothèque iTunes. »





Spotify et Deezer pour découvrir de la musique



Après iTunes Match, c’est Spotify qui revient le plus fréquemment dans les réactions. Le service suédois est assez différent d’iTunes Match en cela que les utilisateurs ont accès à une base de données de 20 millions de titres et pas seulement à leur discothèque personnelle. Une offre qui a un coût : 4,99 € par mois pour une écoute sur un ordinateur ou 9,99 € par mois pour accéder au service également sur son mobile et sa tablette. Une offre gratuite est également disponible, mais elle comporte plusieurs limites (5 écoutes maximum d’un même morceau, 10 heures par mois) et comprend de la publicité.

Gabcont, utilisateur d’iTunes Match, se sert aussi de Spotify « en version gratuite financée par les pubs, mais uniquement pour écouter un album avant de l’acheter sur iTunes. C’est plus pour "tester" la musique que pour l’écouter. »


Applesoft a utilisé iTunes Match pendant un an mais l’a finalement laissé tomber au profit de Spotify. Ce dernier correspond plus à son mode de consommation de musique. Applesoft met en avant les aspects découverte et social de Spotify :

« Quand je veux une nouvelle chanson, je l’ai tout de suite en streaming ou en mode hors connexion. Avec iTunes, il faut que je l’achète ou que je trouve un autre moyen pour l’intégrer à iTunes. Perte de temps pour mon usage ! [...] Spotify me permet de découvrir plein de musique par plusieurs moyens : je suis abonné à des playlists que j’aime bien d’autres personnes et je vois immédiatement ce qu’ils ont mis comme nouveautés. [...] Je peux partager des titres avec des amis par messagerie. »


La découverte musicale est en effet un volet absent d’iTunes Match. Spotify, pour sa part, continue dans cette direction avec des nouveautés axées sur les recommandations et le partage qui sortiront très prochainement (lire : Spotify : plus de fonctions sociales et nouvel affichage).

filss, utilisateur de Spotify Premium, dit carrément que « le streaming a révolutionné [sa] manière de consommer la musique et [que] jamais de la vie [il ne pourrait] revenir en arrière. »

Photo Andrew Mager CC BY


Les applications conçues pour Spotify et les fonctions comme les radios sont également très appréciées comme le démontre fonky67 : « Autre petit plus, gadget mais pratique, c’est la liaison de Shazam avec Spotify. Une musique me plait, je Shazam et hop direct sur Spotify ! Le système des "radios" est vraiment bien pensé et permet de découvrir de vraies pépites, de plus la partie nouveautés propose les news des artistes que j’écoute régulièrement. »


Certains témoins opposent les 25 € euros annuels d’iTunes Match aux 120 € de Spotify. Un surcoût non négligeable, mais fonky67 et nova313 y trouvent leur compte :

« Gros point positif pour moi, c’est le fait d’avoir accès à tout ce que je recherche sans payer plus. » fonky67


« J’ai plus de 1000 musiques sur Spotify, et cela m’a couté 240 € depuis 2 ans. Avec iTunes, j’en aurai eu pour beaucoup plus si j’avais dû les acheter... » nova313


Deezer, un concurrent de Spotify, est également cité à quelques reprises, avec à chaque fois le même cas de figure :

« Étant client Orange, je suis abonné via mon forfait à Deezer. » Alias


« J’ai Deezer Premium via mon forfait téléphone. Ça fonctionne très bien. » sylpicard47


« J’utilise Deezer Premium au travers de mon abonnement Orange depuis 3 ans et ce service me convient parfaitement. J’écoute énormément de musique et surtout je découvre sans cesse de nouveaux artistes avec le système de recommandation dont un certain concurrent ferait bien de s’inspirer. » aleios


Les témoignages ne précisent pas si l’intégration de Deezer au forfait Orange a été un critère de choix.



Qobuz, un service de streaming qui se démarque par une offre « Haute Fidélité », est évoquée à deux reprises. « Je suis audiophile, j’ai opté pour Qobuz sur les conseils d’un revendeur hi-fi. C’est cher, mais la musique est une de mes priorités dans mes dépenses. Je paie 29 €/mois pour l’accès complet. J’ai accès à un catalogue assez immense en qualité FLAC », explique TIBOX.

Quant aux services de Google et Amazon, qui se rapprochent plus d’iTunes Match que de Spotify, ils sont assez peu utilisés parmi les lecteurs qui ont témoigné. Ainsi, minimat, pour qui la limite de 25 000 morceaux du service d’Apple est rédhibitoire, se dit « condamné » à utiliser Amazon Cloud Player. Il parle d’un « écosystème assez immonde », tant au niveau de l’interface web que des applications, mais le service d’Amazon prend en charge jusqu’à 250 000 morceaux (pour le prix d’iTunes Match).

Google Play Music est lui un des rares services gratuits. Cette gratuité a notamment séduit bigmatt qui met aussi en avant le fait qu’on puisse accéder à sa bibliothèque musicale via navigateur web. tot2012 le souligne lui aussi : « la solution de Google est beaucoup plus ouverte : un simple navigateur internet suffit pour avoir accès à sa discothèque là où Apple impose l’installation d’iTunes (ce qui à mon boulot est impossible par exemple). »

Si Google ne fournit pas d’application pour Google Play Music sur iOS, alors qu’elle le fait sur Android, il existe des alternatives, indique tot2012 : « l’application gMusic permet d’écouter ma musique sur iPhone et iPad. Elle propose en plus un égaliseur, ce qui pour moi est indispensable. »


gMusic: A Google Music player [4.5.1 – US – 1,79 € – iPhone/iPad – IIS]


grodada a lui jeté son dévolu sur... Dropbox : « J’ai mis ma bibliothèque iTunes sur Dropbox et tout se synchronise sans problème ». Le service de stockage et de synchronisation dispose en effet d’un lecteur musical, mais les fonctions restent très limitées pour le moment. Cela pourrait changer prochainement avec l’acquisition d’Audiogalaxy, un service spécialisé dans le streaming musical (lire : Dropbox : une offre de streaming de musique ?).



Un nuage... à la maison



iTunes Match, Google Play Music et consorts ne sont pas les seuls moyens d’accéder à sa musique à distance, comme vous êtes plusieurs à le démontrer. decoris et Djedelyon expliquent utiliser un NAS, de la marque Synology, pour streamer leur bibliothèque musicale :

« J’ai choisi Synology après une longue analyse, et bien que cher je ne le regrette absolument pas. [...] J’utilise les applications iOS DS audio et DS file. [...] En utilisation courante, j’en suis enchanté : en quittant chez moi je lance DS audio, choisi (sic) mon album, et écoute de la musique sans problème jusqu’au boulot (le trajet incluant 10 min de métro) sans interruption, et dans une qualité très bonne. » decoris


« Pour moi c’est un NAS Synology DS212j plus l’application DS audio. Ça fonctionne nickel ! » Djedelyon


Synology DS212j



ch4zyx a lui aussi utilisé cette solution qui s’apparente à un cloud domestique. « Mais le problème était qu’en déplacement, ça m’obligeait quand même à transférer du contenu sur mes iDevices car par le Synology je passais alors en connexion VPN (via le serveur VPN de mon Synology) et j’utilisais donc en plus de mon data 3G, ma connexion à la maison », explique-t-il. Un inconvénient qui l’a fait se tourner vers iTunes Match.

Un NAS n’est pas indispensable pour créer sa propre solution de streaming. CapitaineSeb, lui, a opté simplement pour un Mac mini qui fait office de serveur (lire aussi : OS X Server : déceptions professionnelles et découvertes personnelles). « L’accès à distance se fait grâce à Subsonic », indique-t-il. Subsonic est une solution open source pour accéder à distance à sa bibliothèque musicale à travers un navigateur ou une application (il en existe plusieurs sur iOS, comme Z-Subsonic et iSub Music Streamer). Une démo de Subsonic est disponible sur cette page.



Des solutions terre à terre



Une dizaine de témoins indiquent ne pas utiliser de services de musique dans le nuage. Les raisons sont de deux ordres : technique et philosophique.

Madalvée dit attendre « une hausse de la qualité d’échantillonnage » pour sauter le pas. lambdachronicles est également sensible à la qualité et il fait état d’impératifs techniques :

« Je veux avoir ma musique en haute qualité (formats lossless) à chaque fois que c’est possible. Je veux avoir ma musique physiquement parce que j’ai besoin des fichiers, je les utilise dans des applications de sampling, de découpage et d’autres trucs (je produis aussi de la musique). iTunes n’est plus mon lecteur préféré, je préfère largement Deckadance »


Autre anicroche déjà évoquée, la connexion au réseau. D-I-M liste les lieux où l’écoute en streaming est difficile : « les transports en commun où la 3G est de si piètre qualité que vous êtes arrivés à destination que votre musique n’est pas chargée, dans le TGV l’absence du dit signal prohibe totalement le service (sic), dans les avions, au-delà de XX mètres d’altitude... »

Souvenir de l’Antennagate


Quant à la possibilité de stocker des morceaux hors connexion, cet argument n’emporte pas l’adhésion de D-I-M : « si nuage signifie anticiper l’usage, autant l’avoir en local et être sûr d’écouter ce que je veux quand je le veux et comme je le veux. »

D-I-M met en avant aussi le manque d’interopérabilité entre les services proposés par Apple, Spotify, Amazon, etc. Un problème soulevé par Philippe Astor, un journaliste spécialisé dans l’industrie de la musique, sur ZDNet :

« Si je veux changer de service, basculer de Spotify vers Deezer, Rdio ou Rhapsody, par exemple, je vais passer des heures à reconstituer mon profil. [...] Aucun service de musique en ligne, aujourd’hui, n’utilise un format de playlist standard. Et pour l’heure, ce n’est certainement pas leur priorité d’organiser la portabilité des bibliothèques musicales constituées par leurs utilisateurs d’un service à l’autre. Or si je possède encore quelque chose aujourd’hui, en tant que consommateur de musique entièrement converti à des usages dématérialisés, c’est bien cette base de données que constituent ma bibliothèque musicale personnelle et toutes ces playlists patiemment élaborées. »


Un article qui date d’avril 2011 et force est de constater qu’aucune avancée n’a été faite de ce côté.

La connexion 3G peut être une source de problème, tout comme une connexion Internet fixe. « 170 Go de musique répartis sur deux bibliothèques iTunes et un débit internet de misère en zone rurale, donc pas question pour moi de mettre ça dans le nuage », fait remarquer baldi. Pour iCaramba, c’est tout simplement le fait d’avoir besoin d’une connexion Internet pour écouter sa musique qui le rebute.

Photo Jonathan Kriz CC BY


hogs quant à lui ne veut pas mettre sa musique dans le nuage pour une question de partage : « La musique est sur mes CD, je n’achète jamais de musique dématérialisée. Mes CD, j’ai la liberté de les donner, de les ripper, etc. Au vu de la quantité que j’ai, j’aurai également le plaisir de les transmettre à mes héritiers qui en auront légalement l’usage, ce qui n’est pas le cas avec la musique dématérialisée (le contrat de location s’éteignant au décès de l’utilisateur...). »

Une restriction mise sur le devant de la scène en septembre dernier par la fausse affaire Bruce Willis. Le quotidien The Sun avait annoncé que l’acteur allait attaquer Apple car, à sa mort, il ne pouvait pas transmettre sa bibliothèque iTunes à ses enfants. Une annonce qui, bien que rapidement démentie par la femme de Bruce Willis, avait fait beaucoup parler.

Les CGU de l’iTunes Store indiquent clairement que l’utilisateur achète ou loue une licence : « iTunes est le fournisseur du Service qui vous permet d’acheter ou de louer une licence pour des téléchargements de contenu numérique. » Pour mémoire, les morceaux téléchargés sur iTunes (sur l’iTunes Store ainsi que via iTunes Match) contiennent un marqueur avec le nom de l’utilisateur et son identifiant Apple, ce qui pose la question de leur cession ou de leur transfert.



Interrogé par Écrans.fr, Yann Bergheaud, professeur à l’université de Lyon 3 spécialisé dans le droit en ligne, explique que tout un chacun peut techniquement donner sa bibliothèque iTunes à quelqu’un, « mais il se mettrait hors la loi ». En cas de décès, « rien n’est prévu. L’internaute a le droit d’acheter mais ne possède rien au final. »

Si cette dépossession ne convient pas à hogs, aleios s’en accommode très bien : « Je ne me sens pas frustré à l’idée de ne pas "posséder" la musique que j’écoute. Le jour où j’arrêterai mon abonnement, je n’y aurait plus accès et c’est parfaitement normal. »

Quant à ShowMeHowToLive, il dispose d’une approche duale. Il lie achat physique et musique dématérialisée : « Alors bien sur [avec Spotify], je ne suis plus propriétaire de ma musique mais ça ne me dérange pas. J’ai déjà en CD tous les classiques et j’achète de temps en temps des CD ou vinyles pour les quelques groupes dont je suis vraiment fan. ».

Reste une dernière question : comment font ceux qui ne mettent pas leur musique dans le nuage ? iAnn explique qu’il ne met sur sa tablette qu’une sélection d’albums qu’il écoute sur le moment. Romuald, FANREM, hugome et Laurent S from Nancy utilisent quant à eux... un iPod classic. Le vétéran des iPod n’a donc pas encore dit son dernier mot.

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