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De jolis Mac mini très rétro chez Colorware

Félix Cattafesta

mardi 28 janvier à 17:00

Matériel

Après un Mac mini M4 au look de Mac Pro, que diriez-vous d’un Mac mini rétro ? C’est ce que propose le spécialiste des éditions colorées ColorWare, qui vient de lancer deux versions spéciales du dernier Mac mini au look tout droit sorti des années 80. Celles-ci arborent une robe beige ou noire sur laquelle on peut trouver le second logo d’Apple aux couleurs de l’arc-en-ciel. C’est plutôt réussi :

Image Colorware

Le fabricant met en avant une finition mate ainsi que de faux évents fraisés CNC inspirés des premiers Macintosh. Si ce n'était pas assez évident, le logo « Retro » a été ajouté à l’arrière de la machine. Les changements sont purement esthétiques, les composants intérieurs n'ayant pas bougé. ColorWare insiste sur le fait que cette machine est désormais vendue sous son nom : c’est elle qui gère la garantie en cas de pépin, et non Apple.

Image Colorware

Trois configurations sont proposées pour chaque coloris, l’entrée de gamme (16/256 Go) commençant à 899 $ hors taxes, soit 300 $ de plus que chez Apple. Il faudra ajouter à cela 60 $ de frais de livraison vers la France, ce qui en fait un Mac mini pas donné. La déclinaison 24/512 est facturée 1 299 €, tandis que la même machine avec une puce M4 Pro est à 1 699 €. Ces produits étant présentés comme des éditions limitées, ne traînez pas trop à passer commande s’ils vous intéressent.

Incogni : nouvelle cyberattaque chez Carrefour, protégez enfin vos données du web 📍

Article sponsorisé

mardi 28 janvier à 16:10

Services

Protéger ses données personnelles est plus crucial que jamais, surtout face à la montée des cyberattaques ciblant les grandes entreprises. Récemment, une fuite de données massives concernant 13 millions de clients Carrefour a été signalée, mettant en lumière la vulnérabilité de nos informations personnelles.

Les cyberattaques ne cessent de se multiplier et les récentes révélations concernant la fuite de données de 13 millions de clients Carrefour en sont la preuve. Que faire pour protéger ses informations personnelles dans un tel contexte ? C’est ici qu’Incogni entre en jeu.

Une nouvelle cyberattaque en France, cette fois-ci pour Carrefour

Le 19 janvier 2025, une alerte de cybersécurité a révélé qu'une vaste base de données contenant les informations personnelles de 13 millions de consommateurs de Carrefour aurait été mise en vente sur le dark web. Cette découverte a été rendue publique par le chercheur en cybersécurité Clément Domingo, connu sous le pseudonyme SaxX, qui a relayé l'information via un forum spécialisé en ligne.

Selon ses révélations, les données compromises incluent des informations personnelles sensibles telles que les noms, prénoms, adresses postales complètes, numéros de téléphone, adresses e-mail, dates de naissance, ainsi que des détails des achats passés. L’ensemble des données serait proposé à la vente contre paiement en cryptomonnaies, telles que le Bitcoin, Monero et Litecoin.

L’annonce a immédiatement inquiété non seulement les clients de Carrefour, mais aussi l’ensemble des utilisateurs d’autres entreprises de grande distribution, car cette attaque s’ajoute à une série croissante d'incidents similaires.

Incogni, à la rescousse

Face à de tels incidents, la vigilance devient essentielle. Même si Carrefour n’a pas encore confirmé l’intrusion dans ses systèmes, la possibilité de fuites de données doit inciter les consommateurs à revoir la sécurité de leurs comptes.

Dans ce contexte, des outils comme Incogni se révèlent d’autant plus pertinents. Incogni est une plateforme dédiée à la gestion de la sécurité des données personnelles en ligne. Elle offre aux utilisateurs la possibilité de supprimer leurs informations des bases de données utilisées à des fins commerciales, de marketing ou d’exploitation par des tiers. En utilisant des services comme Incogni, les consommateurs peuvent minimiser leur empreinte numérique et réduire le risque que leurs données personnelles ne tombent entre de mauvaises mains.

Le tableau de bord d'Incogni est conçu pour offrir une expérience utilisateur fluide et intuitive. Une fois inscrit, vous accédez à un espace personnalisé où vous pouvez suivre l’état de la gestion de vos données.

Ce tableau de bord centralise toutes les informations importantes, comme le nombre de requêtes envoyées pour la suppression de vos données et les entreprises contactées. Il permet également de visualiser facilement les actions en cours, les résultats obtenus et de recevoir des notifications concernant l’avancement des demandes.

Le coût de ce service est raisonnable, surtout si l’on considère les avantages en termes de sécurité. Incogni propose un abonnement en promotion (- 50 %) de 6,99 € par mois, avec un paiement unique annuel. Cela représente un total de 101,49 € TTC pour l’année complète, un prix relativement modique pour la tranquillité d'esprit et la protection contre les fuites de données sensibles.

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États-Unis : Donald Trump veut imposer des droits de douane sur les semi-conducteurs

Félix Cattafesta

mardi 28 janvier à 15:19

Ailleurs

Donald Trump a dans l’idée d’augmenter les frais de douanes sur les puces électroniques afin de favoriser une production locale. Le président américain a mis cette idée sur la table lors d’un discours aux Républicains prononcé hier en Floride. Si cette menace d’augmentation des prix reste assez floue, elle concerne les puces d’ordinateurs et pourrait être mise en place dans un « avenir très proche ».

Donald Trump. Image : La Maison-Blanche.

Le Président américain regrette que les grandes entreprises de la tech dépendent à ce point de l’Asie pour les puces de leurs produits. « Ils nous ont quittés et sont allés à Taïwan », a-t-il déclaré en faisant une allusion évidente à TSMC. Le fondeur taïwanais produit des puces pour Apple, mais aussi NVIDIA ou Intel. Il a généré 70 % de ses revenus de 2024 sur des ventes faites à des entreprises américaines. Bien que TSMC dispose désormais d’une usine en Arizona, la majorité de la production et les puces les plus avancées restent fabriquées sur l’île.

Sur un autre registre, la Corée du Sud produit les trois quarts des puces de mémoire vive dynamique (DRAM) du marché. Au total, l’Asie produit 80 % des semi-conducteurs mondiaux. Donald Trump s’est également attaqué au CHIPS and Science Act, mis en place par son prédécesseur Joe Biden et prenant la forme d’un investissement de plus de 250 milliards de dollars pour relancer la fabrication de puces américaines. « Ils vont construire leur usine avec leur propre argent. Nous n'avons pas à leur donner de l'argent », a-t-il déclaré.

Et nous ne voulons pas leur donner des milliards de dollars comme ce programme ridicule avec lequel Biden a donné des milliards de dollars à tout le monde. Ils ont déjà des milliards de dollars. Ils n'ont rien d'autre que de l'argent, Joe. Ils n'ont pas besoin d'argent. Ils avaient besoin d'une incitation. Et cette incitation, c'est qu'ils ne voudront pas payer un impôt de 25, 50 ou même 100 %.

Reste à voir à quoi ressemblera le plan une fois effectivement mis en place. L’ambition de faire produire plus de puces dans le pays fait sens, mais la création d’une usine avancée demande des années et des investissements énormes. Une augmentation des frais de douanes pourrait faire augmenter le prix des appareils dans un premier temps. D’un autre côté, la majorité des puces signées TSMC n’arrivent pas directement aux États-Unis et sont tout d’abord exportées en Asie pour être intégrées à différents produits : elles ne seraient donc pas concernées.

Le gouvernement taïwanais a répondu que les affaires entre l’île et les États-Unis étaient un modèle « gagnant-gagnant ». Au début du mois, le ministre de l’économie taïwanais avait estimé qu’une hausse des frais de douane n’aurait qu’un impact limité sur l’économie de Taïwan à cause de son avance technologique.

Ce n’est pas la première menace d’augmentation des droits de douane que profère Donald Trump depuis son retour en poste. Le Président américain a également menacé d’augmenter les taxes de 25 % sur les importations en provenance du Canada ou du Mexique d’ici le premier février si les deux ne revoyaient pas leurs exigences au niveau de la sécurité de leurs frontières.

Apple aurait envisagé un partenariat avec la startup d’IA française Mistral

Félix Cattafesta

mardi 28 janvier à 13:00

AAPL

Mistral, la start-up française derrière l’un des meilleurs modèles de langage open source, serait entrée en contact avec Apple ces dernières années. Bloomberg affirme qu’un projet de partenariat aurait été évoqué, et certains ont même spéculé sur un éventuel rachat par le géant californien. Une rumeur démentie par le CEO de Mistral, qui a rappelé que son entreprise n’était pas à vendre.

Le modèle Mistral exécuté sur un iPhone via l’app MLC Chat. Image iGeneration

Difficile de savoir ce qui a été dit lors des échanges avec Apple, mais on peut faire l’hypothèse d’une meilleure intégration des modèles de Mistral avec iOS. Si les systèmes de Cupertino prennent uniquement en charge ChatGPT pour le moment, Apple a laissé la porte ouverte à d’autres acteurs. Mistral propose elle aussi un « gros » chatbot hébergé sur un serveur et accessible depuis le web, qui dispose de capacité de compréhension d’image. On peut donc facilement imaginer une option lui faisant remplacer ChatGPT chez ceux qui le souhaitent.

Mistral propose également des modèles pensés pour tourner en local. Le plus petit d’entre eux (7B) peut déjà fonctionner dans de bonnes conditions sur un iPhone 15 Pro. Ce n’est évidemment pas optimal, l’iPhone a tendance à vite chauffer et cela demande de la place, mais il n’est pas impensable qu’Apple se rapproche de petites startup pour de futures fonctionnalités d’IA.

Exécuter un grand modèle de langage sur son iPhone, c’est déjà possible

Exécuter un grand modèle de langage sur son iPhone, c’est déjà possible

Rien n’a été confirmé, et Mistral aurait également discuté avec Meta d’un éventuel partenariat. En attendant de savoir ce qui a été conclu, Mistral a rappelé qu’elle comptait bien devenir un « champion global » à l’heure où la technologie des LLM est principalement dominée par des entreprises américaines. La start-up a promis une série de « grandes » annonces commerciales et de produits dans les semaines à venir. La direction travaille actuellement à une introduction en Bourse.

Bouygues : la Bbox WiFi 7 est disponible, mais uniquement en boutique

Félix Cattafesta

mardi 28 janvier à 11:15

Ailleurs

La nouvelle Bbox WiFi 7 de Bouygues est désormais disponible… en boutique. L’opérateur indique sur sa page dédiée que la nouveauté est commercialisée dans ses magasins depuis le 27 janvier, et ce « en avant-première ». Elle est proposée aux nouveaux comme aux anciens clients souhaitant migrer sur cette formule.

Image Bouygues

Cette nouvelle box vient concurrencer la Freebox Ultra dévoilée il y a maintenant un an. Elle brille par son design plus moderne au milieu duquel repose un écran tactile affichant différentes informations. Le débit maximal théorique en Wi-Fi est de 7 Gbit/s, l’appareil opérant désormais sur trois bandes de fréquences (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz). La connexion en fibre optique pourra atteindre jusqu’à 8 Gbit/s en réception comme en émission dans les zones éligibles.

Bouygues présente la Bbox WiFi 7, nouvelle rivale de la Freebox Ultra

Bouygues présente la Bbox WiFi 7, nouvelle rivale de la Freebox Ultra

La Bbox WiFi 7 n’est proposée qu’avec l’offre Bbox ultym WiFi 7 à 45 € par mois la première année pour les nouveaux clients, avant de passer à 52 €/mois par la suite. L’offre inclut un décodeur TV 4K avec plus de 180 chaînes, ainsi qu’un an d’abonnement à Prime, Universal+ et Cafeyn. Il n'est pas possible de migrer sur cette offre depuis son espace client pour le moment, mais certains ont visiblement eu de la chance en passant un coup de fil au SAV. En comparaison, la Freebox Ultra Essentiel coûte 39,99 €/mois pendant un an, puis 49,99 €/mois. De leur côté, Orange et SFR ne proposent pas encore de box Wi-Fi 7, bien que l’opérateur historique expérimente dans certains pays d’Europe.