Google a souvent par le passé suivi les grandes modes, adaptant de petits easter eggs à son interface pour marquer le coup. L’engouement pour la série Netflix Squid Game n’échappe pas à la règle, et le moteur de recherche nous gratifie donc d’une petite animation sympathique pour la sortie de la saison 2 de la série sud-coréenne.
Si vous tapez « Squid Game » dans le moteur de recherche, vous aurez alors un petit carton d’invitation flottant en bas de la page. Cliquez dessus, et vous aurez droit de faire une partie de « un, deux, trois, soleil » (ou le plus poétique « Mugunghwa kkoci pieot seumnida » (무궁화 꽃 이 피었 습니다), soit « les fleurs d'hibiscus ont fleuri » en VO), rappelant la première épreuve de la saison 1. De quoi s’amuser quelques minutes en attendant d’aller regarder la suite de la série.
Pas d'inquiétude à avoir concernant les graphismes de ce petit jeu, contrairement à la série dont il s'inspire directement, il est 100% tout public.
Alors que Japan Airlines a subi ce 26 décembre une cyber-attaque ayant retardé un nombre conséquent de ses vols de la journée, le dénouement d’une affaire ayant fait chuter une plateforme d’échange de cryptomonnaies japonaise a été révélé, impliquant la Corée du Nord.
En mai 2024, la plateforme d’échange DMM, spécialisée dans les cryptomonnaies, fait état d’un vol de bitcoins, pour une valeur record de 305 millions de dollars. La société ne s’en remettra pas, mettant la clé sous la porte un mois plus tard, malgré un prêt de 367 millions de dollars accordé pour tenter de se refaire : les clients échaudés par la faille et la perte sèche ne reviendront pas, poussant l’entreprise à la faillite.
Et c’est donc en ce mois de décembre qu’on en apprend plus sur cette affaire, grâce à l’enquête conjointe de la police japonaise et du FBI relatée par Numérama : les malandrins, se faisant passer pour des recruteurs sur LinkedIn, ont d’abord approché un employé de Ginco, société travaillant avec DMM. Ils sont ensuite entrés petit à petit en profondeur dans le réseau de l’entreprise, usurpant un nombre toujours plus grand de comptes d’employés.
Une fois atteint le système de traitement des transactions, ils ont observé le système suffisamment longtemps pour y trouver de multiples failles, conduisant à l’attaque du mois de mai, et la perte de plus de 4500 bitcoins. Mais où sont-ils donc allés ?
Selon les résultats de l’enquête, pas si loin de l’archipel nippon : c’est le groupe de pirates Lazarus, connu pour être en lien avec le gouvernement nord-coréen, qui serait responsable de cet acte de piratage. Le pays est devenu spécialiste dans le domaine, avec 660 millions de dollars de revenus venant de vols de données, rançons et autres cyber-attaques en 2023, et même 1,34 milliards de dollars en 2024 ! Bénéfices records entrant directement dans la poche du régime en place...
Vous venez d’acheter un nouveau Mac, vous devez configurer celui d’un proche ou vous avez simplement envie d’aller plus loin avec votre machine ? Vous êtes au bon endroit ! Dans ce guide en deux parties, nous allons vous présenter quelques applications améliorant l’expérience de macOS sans la dénaturer. Le but n’est pas de vous faire installer 300 apps tierces sur votre machine, macOS embarquant déjà un paquet de logiciels largement suffisants pour la plupart des utilisateurs.
Dans ce premier tour d’horizon, nous allons vous présenter des alternatives aux apps natives qui méritent le coup d’œil. Un second article bientôt disponible recensera des utilitaires à l’intérêt si évident qu’on se demande pourquoi Apple ne les a pas encore sherlockées.
IINA à la place de QuickTime
QuickTime est un lecteur vidéo qui a comme principal défaut de ne pas être compatible avec beaucoup de formats. Si certains se tournent naturellement vers la référence VLC, il ne faudrait pas oublier IINA, un lecteur open source développé en Swift. Il sait lire tout et n’importe quoi, en plus de disposer de nombreuses fonctions sympas présentées dans une interface moderne dans l'esprit de macOS.
Le lecteur prend en charge le mode sombre ainsi que le Picture-in-picture. Une fonction …
Dans le monde de la gravure de semi-conducteurs, les géants sont rares… et la Corée du Sud veut le sien, comme Taiwan avec TSMC (Taiwan Semiconductor Manufacturing Company). La compagnie taïwanaise est en effet en partie possédée par le pays, qui est le plus gros investisseur individuel. Du côté de la Corée du Sud, un des plus grands fondeurs est certes coréen (Samsung Foundry), mais le pays a quelques failles dans le domaine.
Selon The Korea Biz Wire, l'idée serait d'investir 20 billions de ₩ (environ 13,2 milliards d'euros), qui permettraient de récupérer des gains économiques de 300 billions d'ici 2045 (un peu moins de 197 milliards d'euros). Le but ne serait pas pour autant de concurrencer TSMC ou même Samsung Foundry, qui se concentrent sur les technologies modernes et avancées, mais bien de s'intéresser aux technologies plus anciennes mais rentables.
Le projet a été présenté au NAEK (National Academy of Engineering of Korea) mi-décembre. L'exemple taïwanais est intéressant, car si TSMC est la société la plus connue et la plus mise en avant, PSMC ou UMC complètent bien le portfolio du champion taïwanais. Les deux compagnies se spécialisent dans les processus de gravure plus anciens, suffisants pour de nombreux composants et (surtout) bien moins onéreux. Les puces produites en 14, 28 ou 40 nm (ou même des valeurs plus grandes) sont encore très nombreuses dans de nombreux domaines, car le système sur puce qui va animer votre frigo connecté ou le composant présent dans la télécommande de votre téléviseur n'ont pas besoin d'être gravés en 3 nm.
Toute la question est de savoir si l'investissement prévu est suffisant pour arriver à devenir un géant dans le domaine, tant le coût des usines dédiées à la fabrication des semi-conducteurs est élevé, même pour des processus anciens. Qui plus est, le marché visé existe déjà et de nombreuses sociétés en vivent déjà, avec parfois une expérience assez grande. GlobalFoundries, qui a longtemps été un champion du secteur, a abandonné la course à la finesse pour se concentrer sur les processus plus anciens et mieux maîtrisés, par exemple.
Le père Noël vous a apporté un peu d’argent et vous avez une folle envie de le dépenser ? Pourquoi ne pas investir dans un Icebreaker, un magnifique clavier mécanique vendu à partir 1 500 $ ? Construit sur la base d'un seul bloc d'aluminium usiné CNC, cet accessoire arbore un design inspiré du Flatiron Building de New York. Construit par Serene Industries, il dispose des touches échangeables en alu et d’un rétroéclairage RGB configurable.
Ce clavier format 65% sans pavé numérique affiche des dimensions de 50 x 44 x 24mm. Les inscriptions sur les touches sont microperforées afin de faire passer le rétroéclairage, et on trouve également sur la partie gauche un bouton rotatif configurable. Serene Industries vante des amortisseurs en silicone pour réduire le bruit et les vibrations. Plusieurs points de montage 1/4-20" sont dispersés sur le clavier, permettant par exemple d’y fixer ou de le fixer sur un accessoire.
L’accessoire se branche en USB-C, et une version Bluetooth tenant 3 mois sur une charge est également disponible pour 1 600 $. Deux coloris sont disponibles, avec une version noire facturée 500 $ de plus. Aucun détail n’a été donné sur le poids de l’Icebreaker ou sur le type de switches utilisés. Les précommandes sont ouvertes jusqu’au 28 janvier. Attention, car il ne s'agit visiblement que d'un modèle QWERTY.
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