L'équipementier Cisco n'a certainement pas été impressionné quand il a vu les 2 700 MacBook Air des écoles d'Owensboro (Kentucky, USA). L'entreprise de San Jose gère en effet une flotte de 35 000 Mac. Infoworld a interrogé Brett Belding, directeur des services de mobilité chez Cisco, sur le choix du Mac.
Une petite partie des 2 700 MacBook Air - Photo donfogle63 ©
L'iPhone et l'iPad ont été les éléments déclencheurs dans cette grande entreprise qui utilisait des PC. En s'introduisant dans le milieu professionnel via notamment le mouvement BYOD (bring your own device, apportez vos appareils personnels), les terminaux iOS ont fait sauter la digue. Ils ont poussé les équipes techniques à prendre en charge une seconde plateforme de gestion de terminaux et ainsi à s'écarter du « tout Windows ». « Apple est devenue importante avec l'iPhone et l'iPad », commente Brett Belding.
Avec le mouvement Back to the Mac opéré sur Lion, Apple a fait se converger OS X et iOS jusque dans leur gestion par les grosses organisations. Les vendeurs de MDM ont alors intégré les Mac à leurs solutions.
Cisco faisait beaucoup usage de web apps basées sur des technologies de Microsoft indisponibles sur Mac. Ces web apps étaient écrites en ActiveX pour Internet Explorer 6, ce qui a obligé pendant plusieurs années les premiers employés équipés de Mac de virtualiser Windows. Quand est arrivé l'iPad, Cisco a fait l'effort de réécrire ces web apps pour qu'elles puissent fonctionner sur n'importe quelle plateforme.
Un composant de l'écosystème Apple reste toutefois à l'écart. iCloud, dont les pannes sont régulières et les critiques toujours récentes, est précautionneusement relégué aux seules fonctions personnelles. Quand il s'agit de travailler, Cisco lui préfère ses propres services dans le nuage.
Brett Belding explique qu'il n'y a maintenant plus de différence entre les ordinateurs de bureau et les appareils mobiles : « Ce sont tous des terminaux, et nous les acceptons s'ils respectent nos critères internes ».
L'iPhone et l'iPad ont été les éléments déclencheurs dans cette grande entreprise qui utilisait des PC. En s'introduisant dans le milieu professionnel via notamment le mouvement BYOD (bring your own device, apportez vos appareils personnels), les terminaux iOS ont fait sauter la digue. Ils ont poussé les équipes techniques à prendre en charge une seconde plateforme de gestion de terminaux et ainsi à s'écarter du « tout Windows ». « Apple est devenue importante avec l'iPhone et l'iPad », commente Brett Belding.
Avec le mouvement Back to the Mac opéré sur Lion, Apple a fait se converger OS X et iOS jusque dans leur gestion par les grosses organisations. Les vendeurs de MDM ont alors intégré les Mac à leurs solutions.
Cisco faisait beaucoup usage de web apps basées sur des technologies de Microsoft indisponibles sur Mac. Ces web apps étaient écrites en ActiveX pour Internet Explorer 6, ce qui a obligé pendant plusieurs années les premiers employés équipés de Mac de virtualiser Windows. Quand est arrivé l'iPad, Cisco a fait l'effort de réécrire ces web apps pour qu'elles puissent fonctionner sur n'importe quelle plateforme.
Un composant de l'écosystème Apple reste toutefois à l'écart. iCloud, dont les pannes sont régulières et les critiques toujours récentes, est précautionneusement relégué aux seules fonctions personnelles. Quand il s'agit de travailler, Cisco lui préfère ses propres services dans le nuage.
Brett Belding explique qu'il n'y a maintenant plus de différence entre les ordinateurs de bureau et les appareils mobiles : « Ce sont tous des terminaux, et nous les acceptons s'ils respectent nos critères internes ».