La Samsung SUR40, plus connue sous le nom de Microsoft Surface 2.0, est disponible. Par « disponible », il faut comprendre que les hôtels, restaurants, casinos et boutiques de téléphonie pour la plupart partenaires de Microsoft qui ont déboursé 6 600 € pour s'offrir cette table tactile devraient commencer à la recevoir.
La Surface 2.0 est l'alliance d'un matériel, fabriqué par Samsung donc, et d'un logiciel spécifique, conçu par Microsoft. La première version de la Surface utilisait un ensemble de cinq caméras infrarouges pour « voir » les mouvements effectués et les objets posés sur le plateau — un système lourd et encombrant. Cette nouvelle version utilise la technologie PixelSense : le rétroéclairage du moniteur 40" 1080p est doté de diodes infrarouges qui « voient » jusqu'à 50 points de contact en travaillant avec les capteurs intégrés dans les couches supérieures de l'écran. Le moniteur est recouvert d'une couche de Gorilla Glass pour être résistant aux chocs. Sensiblement moins chère (6 600 € contre 11 000 €), la Surface 2.0 est donc désormais un panneau assez fin pouvant être soit accroché au mur, soit posé sur des pieds pour former une véritable table.
Au-delà de cet écran complexe, la Surface 2.0 est un « simple » PC doté d'un processeur AMD X2 245e double-cœur cadencé à 2,9 GHz et d'un processeur graphique AMD HD 6750M servant à exécuter un cœur Windows 7. Mais ce simple PC se distingue par une couche d'intégration, une interface utilisateur (Metro) et un jeu d'APIs (XNA et WPF, lire : MIX11 : la Microsoft Surface 2.0 prend le Metro) qui le transforme en Surface. Microsoft livre par ailleurs un SDK spécifique pour les développeurs. Répondant aux besoins d'un marché de niche, Surface est assurément une superbe démonstration technologique, mais un produit bien éloigné du grand public.
La Surface 2.0 est l'alliance d'un matériel, fabriqué par Samsung donc, et d'un logiciel spécifique, conçu par Microsoft. La première version de la Surface utilisait un ensemble de cinq caméras infrarouges pour « voir » les mouvements effectués et les objets posés sur le plateau — un système lourd et encombrant. Cette nouvelle version utilise la technologie PixelSense : le rétroéclairage du moniteur 40" 1080p est doté de diodes infrarouges qui « voient » jusqu'à 50 points de contact en travaillant avec les capteurs intégrés dans les couches supérieures de l'écran. Le moniteur est recouvert d'une couche de Gorilla Glass pour être résistant aux chocs. Sensiblement moins chère (6 600 € contre 11 000 €), la Surface 2.0 est donc désormais un panneau assez fin pouvant être soit accroché au mur, soit posé sur des pieds pour former une véritable table.
Au-delà de cet écran complexe, la Surface 2.0 est un « simple » PC doté d'un processeur AMD X2 245e double-cœur cadencé à 2,9 GHz et d'un processeur graphique AMD HD 6750M servant à exécuter un cœur Windows 7. Mais ce simple PC se distingue par une couche d'intégration, une interface utilisateur (Metro) et un jeu d'APIs (XNA et WPF, lire : MIX11 : la Microsoft Surface 2.0 prend le Metro) qui le transforme en Surface. Microsoft livre par ailleurs un SDK spécifique pour les développeurs. Répondant aux besoins d'un marché de niche, Surface est assurément une superbe démonstration technologique, mais un produit bien éloigné du grand public.