John Gruber le rappelle en préambule à son article : WebKit et Safari sont deux choses bien distinctes. D'ailleurs, le second est loin d'être le seul à recourir au premier.
Cela dit, le rédacteur revient sur les différences entre la version 3, encore officielle, de Safari et la version 4, bêta seulement pour le moment. Il se fait ainsi mal à l'absence de barre de progression bleue marquant le chargement d'un site. Il a d'ailleurs changé d'avis sur cet aspect depuis la première version du navigateur. Lorsqu'un site tarde à se charger, l'absence de cette barre est trompeuse. Pas de doute, sur ce point, Safari 4 marque une régression.


Les onglets en prennent aussi pour leur grade. Difficile de savoir, explique-t-il, ce qui a pris aux ingénieurs d'Apple. Certainement a-t-on voulu faire absolument de Safari à navigateur à onglets. Désormais, en effet, on ne peut guère passer à côté du très visible "+" au sommet de la fenêtre. Le problème est que cela rompt avec la "philosophie" Apple qui veut que la barre de titre soit placée juste sous la Barre des menus. Avec Safari 4, la barre d'onglets devient la barre de titre. Tout cela lui rappelle d'ailleurs plutôt Be OS que Chrome. Et les choses ne s'arrangent pas dès qu'il s'agit de déplacer un onglet.

Pour bien faire, il faudrait déplacer quelque peu le sommet des onglets de celui de la fenêtre. Cela permettrait de différencier clairement les uns et les autres, de savoir ce qu'on veut déplacer : la fenêtre ou un onglet.

Et J. Grubber ne s'arrête pas là. Il revient aussi sur les couleurs du navigateur, ou plutôt sur les contrastes entre le premier et l'arrière-plan. Safari 4 n'utilise pas les bonnes couleurs pour ce qui est de la fenêtre active et de la fenêtre inactive. Et la liste des reproches est encore longue.
N'hésitez pas, vous aussi, à donner votre avis sur cette bêta de Safari 4 dans notre rubrique MACritique.
Cela dit, le rédacteur revient sur les différences entre la version 3, encore officielle, de Safari et la version 4, bêta seulement pour le moment. Il se fait ainsi mal à l'absence de barre de progression bleue marquant le chargement d'un site. Il a d'ailleurs changé d'avis sur cet aspect depuis la première version du navigateur. Lorsqu'un site tarde à se charger, l'absence de cette barre est trompeuse. Pas de doute, sur ce point, Safari 4 marque une régression.



Pour bien faire, il faudrait déplacer quelque peu le sommet des onglets de celui de la fenêtre. Cela permettrait de différencier clairement les uns et les autres, de savoir ce qu'on veut déplacer : la fenêtre ou un onglet.

Et J. Grubber ne s'arrête pas là. Il revient aussi sur les couleurs du navigateur, ou plutôt sur les contrastes entre le premier et l'arrière-plan. Safari 4 n'utilise pas les bonnes couleurs pour ce qui est de la fenêtre active et de la fenêtre inactive. Et la liste des reproches est encore longue.
N'hésitez pas, vous aussi, à donner votre avis sur cette bêta de Safari 4 dans notre rubrique MACritique.