Avez-vous déjà eu l'impression que vos informations personnelles étaient partout ? Comme si, à chaque clic sur un site web, une part de vous-même s’envolait sans que vous ne puissiez rien y faire ?

Si oui, sachez que vous n’êtes pas seul. Les courtiers en données sont des entreprises spécialisées dans la collecte et la revente de vos informations personnelles. Mais heureusement, une solution existe : Incogni.

Et il y a une bonne nouvelle : Incogni a récemment étendu son service pour traiter avec plus de 200 courtiers en données. Ce n’est pas juste une avancée technique, c’est une bouée de sauvetage dans un océan de surveillance numérique.

Incogni, c’est quoi ?

Incogni, c’est comme avoir un assistant personnel dédié à la protection de vos données. Concrètement, le service s’occupe de contacter ces fameuses entreprises qui détiennent vos informations (adresse, numéro de téléphone, historique de navigation, etc.) pour leur demander de les supprimer. Pas besoin d’envoyer des emails compliqués ni de remplir des formulaires interminables : Incogni fait tout le travail à votre place.

Et le mieux dans tout ça, c’est que ça marche. Le service ne se contente pas de demander gentiment la suppression de vos données ; il s’appuie sur des lois comme le RGPD en Europe ou le CCPA en Californie pour faire valoir vos droits.

Pourquoi les 200 courtiers en données, ça change tout ?

Chaque courtier en données, c’est potentiellement des centaines de vos informations personnelles qui circulent sans votre consentement. Avant, Incogni couvrait déjà un bon nombre de ces entreprises, mais avec plus de 200 partenaires ciblés aujourd’hui, le service devient encore plus efficace.

En clair, Incogni ratisse large. Il ne se contente pas de s’attaquer aux courtiers les plus connus, mais va chercher ceux qui agissent dans l’ombre. Cela signifie que vos informations sont mieux protégées, même face à des acteurs que vous ne soupçonniez même pas.

Un service simple et abordable

Protéger vos données, c’est bien, mais vous pensez peut-être : « à quel prix ? » Bonne nouvelle : Incogni propose des tarifs transparents et très accessibles.

Voici les détails :

• 6,99 € par mois (avec un paiement unique annuel) pour un coût total avec TVA de 101,49 € TTC.

En optant pour le plan annuel, vous réalisez une économie de 50 % par rapport à l’abonnement mensuel. Autrement dit, pour le prix d’un café par semaine, vous pouvez avoir l’esprit tranquille, sachant que vos données ne sont plus en libre-service.

Pourquoi essayer Incogni ?

Ce qui rend Incogni unique, c’est la combinaison d’un service automatisé et d’une portée élargie. Dès que vous vous inscrivez, vous autorisez Incogni à agir en votre nom. Ensuite, ils s’occupent de tout : contacter les courtiers, vérifier les suppressions, et recommencer si nécessaire.

Voici notre bilan après un an d'utilisation :

Mais ce n’est pas juste une question de fonctionnalité. C’est une paix d’esprit que vous achetez. Plus besoin de vous inquiéter en permanence de savoir si votre adresse ou votre numéro de téléphone circule sur le web, ou si vos données sont utilisées sans votre consentement.

Et franchement, c’est tellement simple que vous vous demanderez pourquoi vous n’avez pas essayé plus tôt.

Un petit prix pour une grande tranquillité

Investir dans Incogni, c’est investir dans votre tranquillité d’esprit. Pour moins de 7 € par mois avec le plan annuel, vous êtes protégé contre des entreprises qui font fortune en exploitant vos informations. Ce n’est pas un luxe, c’est une nécessité.

Alors, pourquoi hésiter ?

Si vous voulez retrouver le contrôle sur vos données et mettre un terme à cette exploitation silencieuse, Incogni est là pour vous. Reprenez le pouvoir dès aujourd’hui !

Si vous regardez sur Internet, dans les commentaires, dans des vidéos, vous verrez souvent que les processeurs ARM consomment moins que les x86, une sorte de vérité assénée, qui ne souffre a priori d'aucune contradiction. Et si nous vous disions que c'est faux ? Car si dans les faits la majorité des puces ARM dépensent moins d'énergie que les puces x86, c'est plus lié à des choix techniques et marketing qu'à une réelle supériorité du jeu d'instructions.

Le premier point à prendre en compte vient de la genèse des puces ARM. La première version des processeurs, qui a défini les bases du jeu d'instructions, date des années 80. Elle a été pensée pour les machines d'Acorn, qui avait trouvé le succès avec le BBC Micro au Royaume-Uni¹. Dans l'optique de créer un successeur à l'ordinateur (qui était équipé d'un 6502, comme l'Apple II), l'équipe d'Acorn a décidé de concevoir son propre processeur, car les puces d'Intel (déjà) ou Motorola ne leur semblaient pas adaptées. L'ARM1, assis sur des concepts RISC, était très performant pour l'époque avec une particularité intéressante qui n'était pas réellement dans le cahier des charges même si les choix — notamment un faible …

Mise à jour 18/01 — Si vous voulez en profiter, c’est maintenant ou jamais. La promotion permettant de bénéficier de Disney+ à 1,99 par mois pendant un an s’achève le 21.

Article original — Disney+ a lancé une offre inédite pour ce service avec une promotion longue durée sur la formule d'abonnement contenant de la publicité. L'offre habituellement vendue 5,99 € par mois descend à 1,99 €. Le tarif est valable pendant un an, après quoi il remontera automatiquement à 5,99 €, sauf si on résilie avant (il n'y a pas d'engagement non plus sur ces 12 mois).

Les anciens clients qui avaient arrêté leur abonnement sans supprimer leur compte sont éligibles, au même titre que les nouveaux arrivants. Il n'est pas possible en revanche de basculer sur cette formule depuis un abonnement qui est actif.

Les conditions d'utilisation ne changent pas avec le prix en baisse : la qualité vidéo est du 1080p, il n'y a pas de Dolby Atmos, on dispose d'un accès simultané pour deux personnes, pas de téléchargement possible et on aura des clips publicitaires avant ou pendant les programmes (sauf sur les profils Junior).

Cette offre d'abonnement est proposée jusqu'au 21 janvier, elle fait suite au retrait de Disney+ de l'offre de Canal+, effective depuis le 31 décembre.

Apple TV+ : cinq séries et cinq films à découvrir pendant le weekend gratuit

Safari, c’est bien, mais Safari avec des extensions, c’est mieux ! Celles-ci contribuent grandement à améliorer l’expérience de navigation, que ce soit en faisant le ménage dans les pubs ou en ajoutant différentes options de confort. Des alliés indispensables à l’heure où les sites web se battent pour maximiser leurs revenus… quitte à devenir de moins en moins praticables.

On peut avoir tendance à oublier que les extensions Safari existent. Contrairement à Chrome ou à Firefox, le navigateur d’Apple n’a pas de boutique dédiée remplie de projets amateurs : il faut obligatoirement que celles-ci soient distribuées via le Mac App Store. Elles sont également disponibles sur iPhone et iPad depuis iOS 15. Quelles sont les plus intéressantes à installer ? Voyons cela ensemble.

Noir ou Dark Reader pour un mode sombre sur chaque site

Il vous est sûrement arrivé de scroller votre iPad le soir au lit, une expérience plaisante jusqu’à ce que vous tombiez sur une page qui ne dispose pas d’un mode sombre : l’écran de la tablette se transforme alors en lampe torche, et il faut jongler avec la luminosité pour ne pas se bousiller les yeux. Noir et Dark Reader corrigent le tir en ajoutant automatiquement un mode sombre à chaque site visité.

Boudé par les promotions depuis son lancement en novembre, l'iMac M4 profite d'une remise chez Amazon. Il n'y a toutefois qu'une seule configuration : une version avec 24 Go de RAM et 512 Go de SSD. Elle est vendue 1 988 €, c'est 221 € de moins que le prix standard, et ce sera le modèle en coloris bleu.

Avec cette version est proposé le clavier avec le bouton Touch ID. Comparé à la précédente génération M3, ce modèle à l'encombrement toujours très réduit, utilise un M4 sensiblement plus rapide et il dispose d'une meilleure webcam, compatible avec Cadre centrée pour le suivi de la personne lors d'une visio et la fonction Desk View. Ses clavier et souris inclus sont passés à l'USB-C à l'occasion de ce renouvellement de gamme. Les autres caractéristiques sont restées largement inchangées.

Test de l’iMac 24" M4 : haut en couleur