Après avoir accueilli des chansons, puis des vidéos, des films et des jeux, la plate-forme de distribution d’Apple pourrait proposer à la vente des logiciels pour iPhone et iPod touch, une fois son kit de développement finalisé et fourni aux développeurs (promis pour la fin du mois).
Cela permettrait à Apple de donner une nouvelle dimension à sa plate-forme de téléchargement qui n'a cessé de grossir depuis son lancement en 2003. Rappelons que la société californienne a eu recours à iTunes pour commercialiser sa mise à jour logicielle pour l’iPod touch.
En faisant cela, la marque à la pomme pourrait offrir à l’utilisateur la garantie qu’il utilise des logiciels sûrs. De plus, le petit programme qui vous manque serait aisé à dénicher puisque tous seraient disponibles au même endroit. D’autre part, le mécanisme d’installation serait tout aussi trivial et permettrait à quiconque d’acquérir un shareware soit depuis son ordinateur soit depuis un iPhone ou un iPod touch via l’iTunes Wi-Fi Store. Cela va dans le sens des déclarations de Peter Oppenheimer, le Directeur financier d'Apple, qui voulait faire de ces terminaux la première plate-forme Wi-Fi mobile vraiment grand public. Autre avantage pour Apple, cela inciterait un peu plus ses utilisateurs à découvrir l’offre de sa boutique : vidéo, musique, films…
En ouvrant iTunes aux logiciels, Apple pourrait révolutionner la distribution de partagiciels. Dans un récent entretien, Claudia Zimmer d’Aquafadas nous confiait qu’à l’heure actuelle, l’une des principales difficultés des petits éditeurs indépendants était d’arriver de faire connaître leurs solutions au plus grand nombre, notamment aux switchers. Avec un point de vente unique, la donne avec l’iPod touch et l’iPhone pourrait donc être très différente.
Toutefois, cette idée de voir Apple contrôler le téléchargement des logiciels suscite également des craintes. Daniel Jalkut, à qui l’on doit entre autres MarsEdit sur Mac, déclare : «je pense que pour beaucoup de développeurs, ça serait à la fois la meilleure chose et la pire chose au monde». Il craint notamment que la marque à la pomme cherche à imposer un tarif unique aux éditeurs. Après tout, c’est déjà le cas pour les jeux en vente sur iTunes pour iPod qui sont tous vendus 4,99 €.
Quelques questions restent en suspens si Apple se lance dans cette voie. Aura-t-on le droit à des freewares ? Si ce n’est pas le cas, il y a fort à parier que le SDK officieux a encore de beaux jours devant lui. D’autre part, quid des possesseurs d’iPod touch qui résident dans un pays où iTunes n’est pas disponible. Rappelons que la plate-forme de téléchargement d’Apple n’est ouverte que dans 22 pays.
Cela permettrait à Apple de donner une nouvelle dimension à sa plate-forme de téléchargement qui n'a cessé de grossir depuis son lancement en 2003. Rappelons que la société californienne a eu recours à iTunes pour commercialiser sa mise à jour logicielle pour l’iPod touch.
En faisant cela, la marque à la pomme pourrait offrir à l’utilisateur la garantie qu’il utilise des logiciels sûrs. De plus, le petit programme qui vous manque serait aisé à dénicher puisque tous seraient disponibles au même endroit. D’autre part, le mécanisme d’installation serait tout aussi trivial et permettrait à quiconque d’acquérir un shareware soit depuis son ordinateur soit depuis un iPhone ou un iPod touch via l’iTunes Wi-Fi Store. Cela va dans le sens des déclarations de Peter Oppenheimer, le Directeur financier d'Apple, qui voulait faire de ces terminaux la première plate-forme Wi-Fi mobile vraiment grand public. Autre avantage pour Apple, cela inciterait un peu plus ses utilisateurs à découvrir l’offre de sa boutique : vidéo, musique, films…
En ouvrant iTunes aux logiciels, Apple pourrait révolutionner la distribution de partagiciels. Dans un récent entretien, Claudia Zimmer d’Aquafadas nous confiait qu’à l’heure actuelle, l’une des principales difficultés des petits éditeurs indépendants était d’arriver de faire connaître leurs solutions au plus grand nombre, notamment aux switchers. Avec un point de vente unique, la donne avec l’iPod touch et l’iPhone pourrait donc être très différente.
Toutefois, cette idée de voir Apple contrôler le téléchargement des logiciels suscite également des craintes. Daniel Jalkut, à qui l’on doit entre autres MarsEdit sur Mac, déclare : «je pense que pour beaucoup de développeurs, ça serait à la fois la meilleure chose et la pire chose au monde». Il craint notamment que la marque à la pomme cherche à imposer un tarif unique aux éditeurs. Après tout, c’est déjà le cas pour les jeux en vente sur iTunes pour iPod qui sont tous vendus 4,99 €.
Quelques questions restent en suspens si Apple se lance dans cette voie. Aura-t-on le droit à des freewares ? Si ce n’est pas le cas, il y a fort à parier que le SDK officieux a encore de beaux jours devant lui. D’autre part, quid des possesseurs d’iPod touch qui résident dans un pays où iTunes n’est pas disponible. Rappelons que la plate-forme de téléchargement d’Apple n’est ouverte que dans 22 pays.